Conscient qu'une absence prolongée au calendrier de la F1 pourrait être préjudiciable au retour d'un Grand Prix en France, François Fillon, petrolhead reconnu et Premier Ministre de notre belle France autophobe, a une nouvelle fois réaffirmé sur Europe 1 son implication et celui du gouvernement de voir le GP de France réintégrer le championnat dès l'année prochaine. Et pour cela, il admet qu'il faudra l'organiser sur un circuit provisoire.
Selon ses propres paroles, il est vital pour le pays qui a organisé le tout premier Grand Prix de l'histoire du sport automobile qu'un Grand Prix de F1 y soit organisé. Toujours selon lui, il est également important pour nos 2 constructeurs nationaux d'avoir cette vitrine pour continuer à se développer. Reste la question du lieu, épineux problème :
" On est en train de regarder sur quel circuit. Faut-il en construire un nouveau ? c'est probable mais ça prendra sans doute un peu de temps, et un nouveau circuit ne sera pas prêt avant 2012. On ne peut pas accepter qu'il n'y ait pas de Grand Prix de F1 d'ici 2012. Est-ce qu'il faut, en attendant, que la course se déroule sur un circuit existant, nous sommes en train d'en parler."
On a peut être là les vrais raisons qui ont poussé Gérard Neveu directeur du circuit Paul Ricard, à ouvrir la réflexion quant à l'organisation du Grand Prix de France sur le site du HTTT.
En attendant, François Fillon était à Monaco le week-end dernier où il aurait rapidement rencontré Bernie Ecclestone.
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