Drôle d’histoire que cette histoire d’amour du jour, 10 juin 2009. Drôle d’histoire que cette histoire d’amour-là. Et dire que tout s’est finalement produit peut-être grâce à une auto miniature (pas de ce genre...), celle d’un enfant forcément et sur laquelle, peut-être encore, ai-je porté un regard d’enfant. Allez, ce n’est pas le moment de sortir les mouchoirs. L’amour en automobile comme en général, je ne peux le concevoir qu’en grand, que magnifique…

L’ai-je aimée dès le premier regard ? Pas sûr. Au deuxième alors ? Je ne m’en souviens pas. Je l’ai découverte, voilà qui est certain. Depuis sa découverte, je ne peux nier avoir éprouvé une sorte de fascination. Même pas. Ce n’est pas le bon terme. Plutôt un intérêt manifeste, une attirance, la volonté de vouloir observer et découvrir, d’en savoir plus.

Et puis, zut, je l’ai découverte, je l’ai aimée. Voilà qui est sûr. Peu importe comment. Peu me chaut pourquoi. Je l’ai aimée. Je l’aime encore, je l’aimerai toujours.

Sans doute l’aurez-vous déjà reconnue, la BMW Z8.