Le marché des véhicules fonctionnant au GPL tend à se développer dans le monde entier. De plus en plus de pays s'intéressent à ce carburant alternatif.

En Norvège, la ministre des Finances Kristin Halvorsen a proposé d’autoriser uniquement la commercialisation de véhicules électriques ou à carburants multiples (comme ceux roulant au GPL) à l’horizon 2015 : les véhicules neufs à moteur thermique classique seraient ainsi interdits à la vente ! Même si le Premier ministre norvégien Jens Stoltenberg s’y est déclaré hostile, cette suggestion est destinée à répondre à la crise économique et environnementale en invitant les constructeurs à développer des modèles à énergie alternative moins polluants.

En Afrique, le ministre du Pétrole du Nigeria préconise l’utilisation du GPL carburant pour réduire la dépendance du pays vis-à-vis du pétrole et limiter les rejets polluants engendrés par le secteur des transports. En Algérie, la transformation des véhicules essence au GPL, s'inscrivant dans le Programme national de Maîtrise de l’Energie, est encouragée par un prêt à taux zéro pour la conversion (sous conditions) : l'objectif est de favoriser le développement d’un carburant plus économique et moins polluant.

La course aux véhicules alternatifs est lancée !