L’Etat est actionnaire de Renault à 19,7%. Le ministre de L’Economie Emmanuel Macron s’était engagé à revendre dans les prochains mois les 4,7% du capital supplémentaires achetés en avril dernier. Mais depuis la fin de la semaine passée, il a fait ses comptes. Avec une action qui est passée en quelques heures de 83 à 67 puis finalement 77,75 euros, le yoyo boursier alimenté par la rumeur sur un possible scandale à la Volkswagen aurait pu coûter à l'État quelque 637 millions d'euros. En attendant, ce sont 4 milliards d'euros de capitalisation qu’a perdu le constructeur français.
Une situation qui a appelé au bon sens : "notre intention aujourd'hui n'est pas de céder des actions pour que le contribuable perde de l'argent, donc nous céderons les actions que je me suis engagé à céder pour revenir aux 15,01% que l'État détenait ces dernières années dans Renault, eh bien, quand l'action aura retrouvé son prix normal", a déclaré Emmanuel Macron. "On va rester très calme et on va le faire posément, au bon moment", a-t-il ajouté en martelant que Renaut n’était pas dans un cas comparable à Volkswagen.














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