Rome n’abandonne pas son envie d’organiser un Grand Prix dans ses rues. Mais les oppositions sont nombreuses, à commencer par celle des Romains eux-mêmes.
La possibilité d’un Grand Prix de F1 à Rome n’en finit pas de prendre du plomb dans l’aile. Pourtant, il y a un an, le maire de la ville avait signalé avoir signé un accord de principe avec Bernie Ecclestone pour une course dès 2012.
Ce mardi, la Gazzetta dello Sport dévoile les résultats d’un sondage à travers duquel les Romains montrent leur forte opposition à cette éventualité. Pour 85 % des personnes ayant donné leur avis, ce Grand Prix comporte plus d’inconvénients que d’avantages. Les Romains ont peur que la course ne dégrade la circulation en ville, et que le bruit soit insupportable.
« Les habitants de l’Eur (partie sud Rome, concernée par le projet) qui se manifestent ne sont qu’une minorité, a réagi Maurizio Flammini, promoteur de l’événement. Le référendum est fait pour donner la parole aux opposants à ce Grand Prix. »
Mais les oppositions sont multiples, puisque Stefano Domenicali, team manager de Ferrari, a récemment déclaré que la Scuderia ne souhaitait pas que deux Grands Prix de F1 soient organisés en Italie.
« Notre sport voit le nombre de pays accueillant un Grand Prix s’accroitre et nous y sommes favorables. Par conséquent, il va devenir impossible d’organiser deux courses dans le même pays. » Monza étant jusque là indéboulonnable au calendrier de la F1, il paraît difficile pour Rome de trouver sa place.
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