… la couverture d’un livre qui m’a tout de suite fait penser à Michel Vaillant lorsque j’ai découvert le livre, somme toute un bon cadeau, de ceux que l’on gardera précieusement.


Ce livre est sobrement intitulé 24 Heures du Mans. L’éditeur ? La Librairie Charpentier, à Paris, dans une collection dénommée Ouvrages de poche pour les jeunes. Eh oui ! il fut un temps où on apprenait « aux jeunes… gens » que l’automobile, le sport automobile, ma foi, c’était bien. Même quelques années après l’effroyable accident qui en endeuilla les 24 Heures 1955. Car ce livre date de 1963. Manifestement, l’ami qui m’en a fait cadeau, en plus d’avoir eu vent de ma passion pour la course dont il est question, l’a trouvé chez un bouquiniste [trouver un synonyme].


Dû a Paul Massonnet et François Cavanna, il est préfacé par Jean Behra et Maurice Trintignant, pilotes de talent de leur état. Lesquels concluent : « Ce livre constitue la plus efficace des propagandes en faveur du sport automobile. Ceux qui l’auront lu voudront, à leur tour, aller au Mans. Ils s’y trouveront en pays de connaissance, suivront en vieux habitués le rituel de la course et ses péripéties et, surtout, seront pénétrés du véritable esprit qui l’anime ». A la sortie des 24 Heures 2010, ce livre tombe à pic car, mon ordinateur ayant déclaré forfait sur le coup de 7 heures du matin le dimanche, j’y puiserai sûrement la force pour venir prendre l’an prochain ma revanche.


Au fait, merci Yo.