Salut, il est vingt-deux heures, et cette rubrique de Minuit chicanes doit reprendre son rythme de croisière, d’avant le Mondial. Figurez-vous que dès le 5 octobre au matin, je suis tombé en panne. Impossible de vous poster directement mes billets doux. Misère, misère et décadence. J’étais depuis un mois au fin fond du trou.


Et quand y’a plus de jus, c’est la galère. Bref : envolés tous les petits billets d’amour que j’avais prévu de vous envoyer en direct ou presque du Mondial. Pour ceux-là et le jus qui va de pair, j’en imagine certains parmi vous particulièrement touchés.


Lorsqu’il y a panne, y’a forcément réparation. Tentative(s) du moins. La réparation dont j’ai bénéficié n’est encore que de fortune. Mais la fortune, me direz-vous, c’est important, surtout lorsque l’on amasse un pactole au fil de l’eau.


Pour terminer, je voudrais juste vous demander si vous, vous le pratiquer encore, le coup de la panne ?