Il est 22 heures, chicanons et ne perdons pas complètement le « filon » suivi depuis lundi soir dernier.


Agamben/Opus dei, voici donc le troisième épisode. Etes-vous une aventure ou faut-il que le passager d’une moto fasse corps avec son conducteur dans les virages ? Drôle de question alors simplifions-la. Reformulons-la comme on dit dans les réunions. Ce qui nous donne : faut-il que le passager d’une moto fasse corps avec son conducteur dans les virages ? C’est en général ce que l’on conseille. On conseille au passager (on l’engueulerait presque après coup) de faire corps avec son conducteur ou sa conductrice plutôt que de faire contrepoids (contre mauvaise fortune bon cœur). Car, estime-t-on encore toujours, à vouloir faire contrepoids le passager pourrait bien envoyer le duo dans le décor. Sans doute parce qu’il ferait le singe tout seul. Sans doute parce que le conducteur ou la conductrice ne souhaiterait pas vouloir faire le singe avec lui pour constituer un duo de singes. CQFD et tel sera notre « motto ».


Au fait, jusqu’à quand la lecture de Opus dei de Giorgio Agamben accompagnera-t-elle nos chicanes car, si je dois me fier au nombre de commentaires, manifestement, hier soir, vous avez lâché prise. Aïe aïe aïe.