Il y a quelques semaines alors que j’empruntais les transports en commun parisien, je me suis surpris à suivre la conversation de 2 adolescents :

  • Wha j’adore la Lamborghini Diabolo !!
  • La Diabolo ? ah ouai elle pète sa m… !!

Ce petit défaut de langage assez enfantin, presque mignon, m’a tout de même interpellé : un diabolo est une boisson (ou un jeu) que l’on pourrait assimiler à pas mal de choses en fonction de son vécue, mais qui généralement s’imprègne de thématiques sucrées et colorées..

Alors qu’une Diablo c’est tout sauf ça, c’est du costaud, du viril, du méchant, un V12 développant 492 chevaux de métal hurlant lui permettant d’atteindre 325 km/h en pointe, et de franchir la barre kilomètre en 21 secondes, une mécanique aussi performante que caractérielle lui ayant fait une petite réputation dans le milieu..

Cet exemplaire d’une propreté clinique dans un état irréprochable, nous fait dire que les lignes de la Diabolo traversent les années avec une insolente facilitée.