L'exposé commence avec ce constat édifiant. L'auteur a passé successivement trois ans en poste en Italie et trois en Espagne, sans subir la moindre amende pour excès de vitesse. Depuis trois ans qu'il est rentré en France, il dit qu' « il faut compter deux points par an et trois cents euros minimum ».
Partant de là, il démontre l'implacable mise en oeuvre d'une fiscalité routière grimée des vertus d'une sécurité que les derniers événements dramatiques alertent sur les conduites addictives et les défauts de vigilance. Loin du dogme vitesse et de la religion radar. Le vent se lèverait-il ?














Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération