Renault annoncé hier dans un communiqué adressé aux représentants du personnel que toutes les pièces détachées en provenance du Japon passeraient par des contrôles de radioactivité venant compléter ceux réalisés au départ du Japon.


Une décision qui fait sans doute suite à la découverte mi-avril de véhicules contaminés en Russie. Les pièces seront effectués à Lardy (Essonne) et à Grand-Couronne (Seine-Maritime). Ce dernier site constitue la principale plateforme logistique de Renault et centralise les arrivages de pièces venues de l'étranger puis dispersées vers les différents sites d'assemblage.


Interrogé sur les éventuels problèmes de fabrication dans les usines de son partenaire Nissan après le séisme du mois de mars, le constructeur a affirmé avoir trouvé des solutions pour pallier à ces problèmes. Pour le moment, seule l'usine coréenne Renault Samsung Motors est touchée par les soucis d'approvisionnement.