• 77% des belges sondés estiment que les pics de pollution représentent un danger pour leur santé. Cette proportion passe à 91% quand il s’agit de la santé des personnes plus fragiles (enfants, personnes âgées…).
  • 75% des sondés identifient clairement la voiture comme cause principale des pics de pollution et sont prêts à ce que les pouvoirs publics prennent des mesures plus radicales : lors des pics de pollution, 62% des sondés sont d’accord d’interdire la circulation dans les centres villes et 57% de mettre en place la circulation alternée ; au jour le jour, c’est-à-dire en dehors des pics de pollution, 86% des personnes interrogées demandent que l’on investisse plus massivement dans les transports en commun, 67% sont d’accord de taxer plus lourdement les véhicules les plus polluants et 55% sont favorables à un péage urbain.

Marc Dumoulin, directeur de Dedicated Research, explique : "Les Chiffres sont stupéfiants. Ils montrent que Wallons et Bruxellois sont extrêmement préoccupés par ces phénomènes de pollution et veulent que les pouvoirs publics prennent des mesures plus radicales en particulier vis-à-vis de l’usage de la voiture. Tous ces chiffres sont unanimes pour dire que Wallons et Bruxellois, qui considèrent qu’ils font déjà des efforts pour l’environnement, sont prêts à en faire encore beaucoup plus et que les pouvoirs publics doivent être plus incisifs dans les mesures, tant en cas d’urgence qu’en situation normale".

Sondage/Dedicated Research : 62% des Belges interrogés sont d'accord pour interdire l'accès à la voiture dans les centres villes lors des pics de pollution

(Source : Dedicated Research Photo : 7sur7)