
Si les constructeurs et leurs fournisseurs connaissent de grandes difficultés liées à la crise du Covid-19, certains affichent leur optimisme pour la suite. Et notamment Renault, qui écarte l'idée d'une renationalisation.
Si les constructeurs et leurs fournisseurs connaissent de grandes difficultés liées à la crise du Covid-19, certains affichent leur optimisme pour la suite. Et notamment Renault, qui écarte l'idée d'une renationalisation.
Comme chaque année, Caradisiac organise le grand match des ventes des constructeurs premium allemands, catégorie par catégorie. Mercedes l’avait emporté en 2019, mais entretemps ont pris leur essor les BMW Série 3, X3 et autres Audi Q5. De quoi bousculer l’ordre établi ?
Le pétrolier Total annonce qu'il va verser 50 millions d'euros en bons carburant au personnel hospitalier, soit environ un million de pleins offerts.
Une toute récente étude datée du 19 mars de la FNA (Fédération nationale des artisans de l'automobile) révèle que près de trois quarts des entreprises du secteur automobile (garagistes, carrossiers, contrôle technique...) ont fermé leurs portes, alors qu'ils étaient pourtant autorisés à ouvrir.
Conscient de la gravité de la pandémie que nous traversons, beaucoup de constructeurs automobiles ont décidé de s’engager dans la lutte contre le coronavirus en fabriquant des respirateurs artificiels ou des masques de protection.
Pour le président de Renault, l'épidémie de Covid-19 est "l'une des épreuves les plus difficiles" de l'histoire de la marque. Jean-Dominique Senard écarte pour l'instant l'idée d'une nationalisation de l'entreprise.
Un arrêté va être publié dans les prochaines heures pour autoriser les poids lourds à circuler exceptionnellement ce dimanche afin de faciliter les « réapprovisionnements et maintenir la vie économique » a annoncé hier soir le ministère de la Transition écologique et solidaire.
Donald Trump vient d'annoncer qu'il aiderait "un peu" les constructeurs automobiles à traverser la crise du coronavirus. Ce serait la seconde fois dans un laps de temps assez court que le gouvernement américain vient à la rescousse des géants de Detroit.
Le groupe PSA vient de confirmer que la production et l'acheminement de pièces détachées étaient bien maintenus, à l'inverse de la production et de la vente d'automobiles neuves. Le but est d'assurer la maintenance des véhicules en circulation. Crucial, notamment pour certaines catégories de personnes.
A fond les caisses ! L’an dernier, le prix moyen des pièces de rechange a gonflé de 6,6% quand l’indice des prix à la consommation n’augmentait, lui que de 0,9 %. Une hausse que les assureurs jugent tout simplement « exorbitante ».
Dans la rubrique Economie / Politique
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