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Malgré l’absence du nouveau Kona, il y a des choses intéressantes à voir sur le stand Hyundai au salon de Bruxelles 2023.

Elles ont fait rêver plusieurs générations d'amateurs d'automobiles cinéphiles, par leurs lignes, leurs performances, leur capacité à effectuer des cascades incroyables, mais aussi et surtout par leurs armes et gadgets. Prouvant qu'il est un salon de renommée internationale, le salon de Bruxelles expose une bonne partie des voitures de James Bond, aux côtés d'autres objets cultes.

Le Salon de Bruxelles tombe à point nommé pour Opel dont la gamme est en pleine mutation. Le constructeur y présente ses nouveautés électriques ainsi que son nouveau label sportif baptisé GSe.

Voici 90 ans, en 1933, Bugatti se sauvait d’une faillite probable en inventant l’un des précurseurs du TGV : l’Autorail, un engin ferroviaire révolutionnaire qui battra une pléthore de records.

Les voitures de luxe et autres sportives d’exception sont nombreuses au salon de Bruxelles 2023. De Bugatti à Lamborghini en passant par Lotus ou Bentley, la plupart des grands noms y sont. Mieux qu'à Paris !

Fabriquée tout en aluminium et dotée d’un 12-cylindres atmosphérique allié à une transmission intégrale, l’A8 W12 exhibe une fiche technique exceptionnelle. Ce majestueux vaisseau-amiral frôlant déjà les vingt ans s’offre pour le prix d’une Dacia Sandero optionnée : de quoi se laisser tenter, mais gare à l’entretien.

Citroën mettra pour la première fois en scène la version tricorps de la compacte C4. Son grand coffre n’est pas le seul argument puisqu’elle est proposée en essence, en diesel et en électrique.

Dacia a fait le déplacement à Bruxelles avec plusieurs nouveautés dans sa poche. La nouvelle Spring 65 est à l'honneur aux côtés des Jogger, Sandero et Duster. Petit tour d'horizon.

DS était l’un des rares constructeurs présents au mondial de Paris. La marque premium a de nouveau effectué le déplacement en Belgique où il présente une gamme renouvelée et convertie à l’électrique ou à l’hybride. Petit tour d’horizon.

Dans les années 60, les Chevrons ont convaincu les plus grands photographes de leur temps (et peut-être du siècle) de travailler à la réalisation de leurs brochures et journaux internes. Une drôle d’histoire dont le héros est un éditeur : Robert Delpire.