Sauve qui peut ? Les initiatives du président américain Donald Trump en matière de commerce internationale auront au moins réussi à démontrer que le tous contre un et chacun pour soi n’était pas un fantasme. Mais bien une ligne politique lorsque les intérêts sont en jeu. Ainsi, pendant que l’Europe tente d’afficher une unité pour monter au front face au plus haut représentant de l’Oncle Sam qui dégaine des taxes, les constructeurs automobiles allemands, eux, font cavalier seul. Et reçoivent les félicitations du locataire de la Maison Blanche.