
...et surtout Peugeot, qui se place en deuxième position du hit-parade 2020 des entreprises les plus admirées.
...et surtout Peugeot, qui se place en deuxième position du hit-parade 2020 des entreprises les plus admirées.
Daimler (prochainement Mercedes-Benz Cars) vient de confirmer la cession de l'intégralité de ses actions Renault, pour un montant de plus de 300 millions d'euros. Conséquence immédiate, le titre du constructeur français est en repli.
Après Flins, Renault décline son concept de "Refactory" au sein de l’usine de Séville. Un projet qui regroupera ses activités de reconditionnement de voitures d’occasion et de réparation et recyclage des batteries.
D'abord proposés par les marques premium, les SUV "coupés" semblent avoir le vent en poupe, tant et si bien que les marques généralistes, Renault en tête s'y sont mises ou vont s'y mettre. En gros, ça y est, tout le monde veut son SUV coupé ! Même les chinois de chez Aiways présentent aujourd'hui le leur. Alors, qui sera le prochain ? Peugeot, à n'en pas douter...
C’est un très curieux paradoxe. Alors que les ventes s’effondrent comme jamais, revenant à des scores des années 90, les constructeurs affichent une santé insolente. Pourquoi une telle contradiction ? Parce que la demande étant supérieure à l'offre, c'en est fini des promos à tous crins qui baissaient notoirement les marges des marques.
Renault a déjà enregistré 40 000 commandes pour son SUV coupé.
La crise des semi-conducteurs touche de plein fouet la plupart des constructeurs mondiaux. Pour Renault, la "perte" en 2021 devrait s'élever à 500 000 véhicules.
Face aux mauvaises nouvelles qui s'accumulent sur le front automobile, nous avons eu cette semaine envie de montrer ce qui fonctionne bien pour le secteur à l'échelle de l'Hexagone. Et vous allez voir que les motifs de satisfaction restent nombreux.
Renault redistribue ses cartes industrielles dans le cadre du projet "Renaulution". La marque veut produire 9 nouveaux modèels dans l'Hexagone et embaucher 2500 personnes, qui compenseront largement les 2000 départs prévus.
Luca de Meo, patron de Renault, ne voit pas l'intérêt d'une fusion entre le Losange et Nissan.
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