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Absent du segment premium des berlines compactes 4 ou 5 portes, BMW a corrigé cette lacune en lançant à l’occasion du Mondial de Paris 2004, la Série 1 afin de faire de l’ombre à l’Audi A3 mais également de créer une sorte d’entrée de gamme plus adaptée au marché que les anciennes BMW Série 3 Compact.

Aujourd’hui, c’est une gamme complète qui s’est constituée même si les versions 3 portes ou cabriolet se font toujours attendre. Uniquement disponible en 5 portes, la BMW Série 1 n’est en revanche pas avare de motorisations puisqu’elle ne dispose pas moins de 6 moteurs (4 essence allant de 115 à 265 ch et 2 diesel de 122 et 163 ch). Pour cet essai, nous avons eu la chance d’avoir entre les mains la plus puissante de toutes, la BMW 130i, qui est animée par le 6 cylindres en ligne de 265 ch. Sensations garanties !

Des lignes caractéristiques

Même si la BMW Série 1 symbolise les débuts de la marque dans la catégorie des compactes, il n’en demeure pas moins qu’elle est une vraie "Béhème" et non pas un simple "ersatz".

Essai - BMW 130i : gros cœur

Ainsi, sans aucune surprise, on découvre au centre de la face avant la calandre symbolique du constructeur munichois. Esthétiquement, elle est donc un mélange du style typique de Chris Bangle avec des lignes toutefois moins tourmentées que celles de la BMW Série 7 par exemple et du concept CS1 exposé lors du salon de Genève 2002.

Essai - BMW 130i : gros cœur

Pour le reste, la BMW Série 1 se caractérise par un long empattement (2,66 m), des porte-à-faux réduits, des phares à double optiques terminant en pointe sur les ailes et une parure nettement plus discrète que la plupart de ses rivales à commencer par l’Alfa Romeo 147 GTA.

Essai - BMW 130i : gros cœur

L’habitacle est pur jus BMW avec une présentation classique pour ne pas dire austère. Le bloc instrumentation est traditionnel et l’on retrouve comme sur l’ensemble des berlines de la marque le fameux "i-Drive" simplifié au niveau de la console centrale.