En France, je vous rappelle que la justice a condamné des internautes qui indiquaient sur facebook l'emplacement des contrôles radars. En Australie dans la région de Nouvelle Galles du Sud, la lutte contre ces contrôles de vitesse souvent considérés comme du « racket » ou tout du moins un « impôt déguisé » a pris une drôle de tournure.

Sur facebook où la page à déjà recueilli plus de 43 000 likes, des Australiens mécontents ont lancé la campagne « Block their Shot » qui consiste à mettre en échec les radars mobiles (et généralement embarqués) stationnés sur le bas-côté des routes. Cela consiste simplement à garer son propre véhicule derrière le cinémomètre embarqué afin de l'empêcher de prendre ses mesures puis de prendre une photo qui est ensuite postée sur le réseau social.

Cela a bien évidemment provoqué le courroux des autorités de la région et de la sécurité routière locale qui ont qualifié les instigateurs de ce mouvement d'idiots et ont menacé de pendre des mesures à leur encontre, les accusant d'être des obstacles à la sécurité et d'inciter à enfreindre la loi en poussant à commettre des excès de vitesse.
Ce mouvement n'est pas né par hasard et fait suite à une intensification importante des contrôles dont les sommes rapportées ont plus que quadruplé en seulement 10 mois l'an dernier. Une opération qui a abouti à une réduction minime entre 2013 et 2014 du nombre de tués puisque le chiffre est passé de 333 à 309 victimes (dans la région concernée de Nouvelle Galles du Sud).














Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération