BMW, Mercedes-Benz, Audi, Jaguar, mais aussi Chrysler ont été confondus à la suite d'une enquête menée par la commission nationale du développement et de la réforme (CNDR). En cause, leur attitude à trop presser les concessionnaires et fournisseurs de pièces détachées, ce qui leur permet de contrôler les prix au détriment des consommateurs. Résultat, les tarifs vont baisser. Comme un aveu de culpabilité à moins qu'il ne faille faire amende honorable avant de la payer au prix fort dans ce qui est le marché le plus important de la planète.


Aujourd'hui on apprend que c'est au tour de Toyota, de Honda et de Nissan d'être sur la sellette pour les mêmes raisons. Avec les mêmes conséquences puisque les trois noms ont promis de baisser les prix de leurs pièces détachées. Ajoutant même qu'ils étudieraient activement toute amélioration qu'ils pourraient apporter à l'avenir.