Luca di Montezemolo, lors de la présentation de la Ferrari F150, a confié son envie de voir les règles de la F1 évoluer et l'aéro prendre moins d'importance.
Ferrari, après avoir présenté sa F150 ce vendredi, n’a pas hésité à faire part de ses envies à l’orée de cette nouvelle saison qui s’annonce. Et, si le team de Maranello se fait à l’étude de l’efficacité de sa monoplace en soufflerie, la firme au Cheval Cabré préfèrerait nettement pouvoir rouler sur le tarmac afin d’améliorer sa monoplace.
Avant le Grand Prix de Bahreïn, Ferrari aura onze jours répartis en quatre sessions de test pour améliorer sa F150. Mais, après le début de la saison, les essais privés seront interdits et seuls seront autorisés quelques tests aérodynamiques en ligne droite. Pour Luca di Montezemolo, tout cela ne rime à rien.
« On ne peut pas être le seul sport professionnel où il est impossible de s’entrainer, s’est exclamé le président de la Scuderia à Maranello. Nous devons faire en sorte que la F1 ne devienne un test aérodynamique. Nous ne sommes pas dans le monde de l’aérodynamique. Il nous faut quitter l’espace et nous reconcentrer sur la mécanique et les moteurs. Nous devons des règles stables mais elles devraient surtout contenir l’essence même de la F1. »
Luca di Montezemolo, au delà d’un changement de réglementation sur l’autorisation des essais privés, propose un début sur la philosophie de la F1. Avec le gel des développements des moteurs et l’absence d’essais en piste entre les Grands Prix, l’aérodynamique a pris le pas sur mécanique. Et c’est bien ce qui pose problème à la Scuderia, qui n’a pas bâti sa légende sur son travail en soufflerie.
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