Qu’on se le dise, le principe du gel des moteurs pendant dix ans a fait long feu. Après une réunion parisienne, Vendredi dernier, entre toutes les parties impliquées dans le paddock d’une Formule 1 aux coûts trop élevés, il a été ainsi décidé que 2013 verrait l’arrivée d’un nouveau moteur poussant l’actuel V8 2,4 litres vers le musée. Ce bouilleur, dont les contours seront à définir d’ici deux ans, devra être en phase avec son époque, et donc prendre en compte l’environnement.
Mais ce n’est pas tout. Si l’usage des souffleries sera toujours autorisé, les fréquences de passage devront être contingentées, tandis que les intérêts présents se sont tous accordés pour que la moindre idée en mesure de faire baisser les budgets sera prise sur le champ en considération. Et appliquée si un consensus se dégage à l'issue de son étude.

Un budget que l’on verrait bien tourner autour des cent millions d’euros, reprenant en cela la pensée commune du binôme Nick Fry, Ross Brawn sur la somme annuelle imposée à ne dépasser sous aucun prétexte.
La Formule 1 semble s’être décidée à devenir sage. En tous cas, ce moment d’unité rare sur un thème aussi sensible a fait dire à l’un des participants que cette réunion avait été « très positive et productive. »
Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération