La campagne « Racing against Racism » lancée à l'initiative de la FIA pour les raisons que l'on sait et qui sera véritablement inaugurée lors du prochain Grand Prix d'Espagne, reçoit progressivement tous les soutiens du landernau de la Formule 1, encouragements par ailleurs fortement sollicités par les instances fédérales.
Après McLaren qui a immédiatement appuyée l'initiative en tant que concernée au premier chef, c'est l'ensemble du plateau qui s'est associé à cet élan d'adhésion. Pourtant, il en est encore qui, s'ils ne font certes pas montre d'hostilité au projet, prennent une posture moins engagée, laissant transparaître leurs doutes sur la pertinence de cette action.

Mark Webber avait été très tôt de ceux là. Il vient à présent d'être rejoint par une des plus grandes personnalité du landernau: Bernie Ecclestone. Celui qui n'hésite pas à tancer les hommes d'Etat lorsque ceux ci donnent le sentiment de ne plus vouloir se donner les moyens de préserver leur Grand Prix n'a ainsi pas été transporté d'enthousiasme devant cette initiative, jusqu'à la juger inutile.
« Je ne crois pas que ce soit utile. Les incidents de Barcelone n'ont été le fait que de petits groupes d'individus qui aiment saisir les occasions pour attirer l'attention sur eux. Ils ne sont sans doute même pas fans d'Alonso. C'est un fait isolé qui n'a rien de significatif. Par ailleurs, je ne crois pas que Hamilton en ait été affecté. Il est assez fort pour faire la part des choses. » Au moins, du point de vue de Tonton Bernie, ce n'est donc pas avec ce genre de fait que l'Espagne risque de perdre son épreuve au calendrier.














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