Cette solution évoquée depuis plusieurs semaines serait toujours d'actualité selon le site économique spécialisé dans l'automobile mais également les représentants du personnel ayant participé au premier CE d'après mise en redressement judiciaire. Pour le moment, aucun licenciement n'est prévu et il semblerait que des repreneurs potentiels se soient déjà fait connaître.


Sur le sujet des discussions avec VW, la réponse du groupe allemand doit intervenir d'ici le mois de juin, le plan de marche est donc respecté. Les repreneurs auraient indiqué que leur intérêt était conditionné par l'obtention (ou non) de ce contrat avec VW qui verrait le groupe allemand fournir des pièces à la compagnie française en échange de services de fabrication et de production. On parle d'un contrat d'une valeur de 20 à 30 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel dès l'an prochain concernant des véhicules en fin de vie, sans plus de précisions de part et d'autre.