Intéressons-nous ici à la seconde, puisque nous avons déjà évoqué celui de la première.


La Jaguar Type E est un mythe et même le sacrilège esthétique que représente la Série 2 n’entame en rien ce mythe.


La Type E est née au Salon de Genève 1961. Dotée d’un six cylindres à double arbre à cames en têtes, elle bénéficiait aussi d’une suspension arrière indépendante, d’une structure monocoque et de quatre freins à disque.


Grâce à sa conception moderne pour l’époque et à un prix inférieur à celui de ses concurrentes, elle rencontra rapidement un vif succès.


Mieux, sa carrière passa également par la compétition avec la fameuse Lightweight dès 1962.


Les évolutions furent nombreuses : six cylindres 4,2 litres, carrosseries cabriolet et 2+2 jusqu’à la Série 2 de 1969, qui adoptait un V12 5,3 litres et une direction assistée… « 69, année érotique » ? Ah d’accord !


La Type E poursuivit sa carrière jusqu’en 1975 tout de même avec plus de 70 000 unités à son actif, pour la grande majorité exportées.


La relève s’appela XJS. Mais c’est une autre histoire.


Vive la Type E !