La voiture connectée, c'est pour demain. La prochaine année 2014 devrait nous apporter de nouvelles améliorations dans ce secteur qui intéresse à la fois les constructeurs et les opérateurs. Une communauté d'intérêt favorable au progrès. L'automobiliste devrait y trouver son compte, à condition d'accepter de se faire pister en permanence...
Dans un récent article, le site Techno-car.fr se fait l'écho d'une étude du cabinet de conseil informatique Wipro, promettant un bouleversement de la donne dans le domaine de l'assurance automobile. La raison ? La connectivité annoncée des prochains véhicules. Un futur très proche puisque, au Japon, on peut déjà s'assurer à la journée par le biais de son téléphone portable. Une aubaine qui a cependant un prix qui n'a rien à voir avec un tarif. Il est plutôt philosophique puisqu'il faudra consentir à faire une croix sur l'anonymat de ses déplacements.
Le renoncement assumé, c'est l'assurance à la carte qui se présente à vous. Et plus question de raconter des cracks. Les puces expertiseront jusqu'au moindre des détails la vie de votre voiture. Si elle a été un peu trop brusquée, si vous avez été négligent, vous ne pourrez plus vous retrancher derrière une pointe de mauvaise foi. Bienvenue dans l'univers de l’assurance indexée sur les kilomètres parcourus ou sur le comportement du conducteur. Les circonstances d’accidents, leur lieu et l’état de la voiture feront aussi partie de la panoplie. Un progrès ? Technologique, sans doute. Maintenant, on sait aussi que l'enfer est pavé de bonnes intentions.















Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération