Carlos Ghosn a rappelé les conditions dans lesquelles cette affaire s'est déroulée et a été vécue par l'entreprise.


Au mois de novembre, des enquêteurs avaient procédé à une nouvelle perquisition dans les locaux de la direction générale de Renault, fouillant notamment le bureau de l'assistante du PDG Carlos Ghosn. Les enquêteurs avaient alors emmené des copies de documents et d'ordinateurs.


Cette affaire, qui a débuté au mois de janvier dernier, a entraîné la démission de son ancien directeur général délégué Patrick Pélata. Renault a présenté au mois de mars des excuses aux trois cadres qu'elle avait injustement accusés d'espionnage puis licenciés.


Sources : Le Monde, Les Echos