Voici un taux historiquement bas. Selon les premières estimations du ministère de l'Intérieur, la mortalité routière en France aurait reculé de 10% en 2013.
Les chiffres définitifs seront connus à la fin du mois de janvier mais en attendant, Manuel Valls souhaite commencer l'année 2014 par une note positive. Chez nos confrère d'Europe 1, le ministre de l'Intérieur a déclaré « avoir noté une baisse, sans doute autour de 10%. Mais 3.200, 3.300 tués sur les routes, ce sera sans doute ça le bilan définitf de l'année 2013. » A titre de comparaison, 3.653 personnes sont mortes sur nos routes en 2012.
Objectif : passer sous la barre des 2000 morts dans dix ans
Manuel Valls a profité de son passage à la radio pour rappeler son objectif : « atteindre les 2000 tués par an pour les dix ans qui viennent, » en ajoutant qu'il « n'oubliait pas les blessés, les blessés grave, les blessés à vie » : pour le ministre, la sécurité routière est « une cause nationale », il s'agit donc de « poursuivre cet effort » en utilisant « tous les moyens ». La baisse des limitations de vitesse n'est pas exclue, bien au contraire : « La vitesse est une cause, sinon la première cause de la mortalité. Ce sont des pistes qu'il faut envisager. Il faut expérimenter là-dessus ».
Et continuer à prendre les usagers pour des vaches à lait, la mise en place de radars étant bien plus lucrative que la sanction des comportements à risque au volant : oubli des clignotants, volonté de ne pas rouler à droite sur l'autoroute...
















Déposer un commentaire
Alerte de modération
Les données que vous renseignez dans ce formulaire sont traitées par GROUPE LA CENTRALE en qualité de responsable de traitement.
Les données obligatoires sont celles signalées par un astérisque dans ce formulaire.
Ces données sont utilisées à des fins de :
Vous disposez d’un droit d’accès, de rectification, d’effacement de ces données, d’un droit de limitation du traitement, d’un droit d’opposition, du droit à la portabilité de vos données et du droit d’introduite une réclamation auprès d’une autorité de contrôle (en France, la CNIL).
Pour en savoir plus sur le traitement de vos données : Politique de confidentialité
Alerte de modération