Il est vingt-deux heures, chicanons.


… une expression destinée à résumer « le salon de l’automobile », le parisien de son temps, décrétant : « L’automobile c’est la guerre ».


Cette expression, sans doute voulait-elle assimiler, comme Walter Benjamin l’aurait peut-être pensé, le lieu de l’automobile à celui de la guerre où se consume l’excès de progrès technique qu’une société n’est pas capable d’intégrer dans ses usages civils en raison d’un rythme du progrès technique trop rapide.


Voilà peut-être de quoi nous occuper une bonne partie du week-end. A lundi !