Qu’on le veuille ou non le rachat de Lamborghini qui faisait frissonner un bon nombre des habitués de la marque, apporta une bouffée d’air au catalogue, mais aussi et surtout des améliorations techniques et marketing..

En effet sans rentrer dans le détail, il fut un temps ou rouler en Lamborghini nécessitait d’avoir de solides compétences en mécanique, ou une carte de fidélité chez son mécanicien..

Une certaine rigueur germanique apportée a cette production ne fut donc pas du luxe, car si même les autos sont devenues moins sauvages, et plus polyvalentes, elles conservent toutefois leur caractère bien trempé typiquement latin..

A la manière de Porsche avec ses versions RS, les séries limitées furent une stratégie de diversification, avec en point d’orgue la Nera, la LP640, mais aussi la très sportive Superleggera qui rentre en concurrence directe avec la Ferrari F430 Scuderia..

Stratégie intéressante qui en plus de dynamiser une gamme, véhicule une image forte, facteur indispensable dans un tel créneau..