Souvenez-vous, en septembre dernier, le gouvernement instaurait un dispositif d'urgence pour faire baisser les prix à la pompe. Résultat : le litre perdait en moyenne six centimes grâce à l'action combinée de l'Etat et des enseignes de la grandes distribution qui s'impliquaient dans ce projet.
Malheureusement, ce programme n'était prévu que pour trois mois, du coup, dès le début de 2013, les prix repartaient une nouvelle fois à la hausse. Contexte oblige, les prix n'ont pas grimpé indéfiniment puisque Pierre Desjardins vous annonçait deux semaines en arrière que la première baisse de l'année était enfin intervenue, grâce à un euro plus fort et à un baril de Brent plus abordable de 10 dollars (108 $ contre 118 $).
Depuis, les choses ont évolué. Le gazole a continué sur sa lancée puisque le ministère de l'Ecologie et de l'Energie a annoncé une baisse du carburant préféré des Français. Il passe ainsi sous la barre de 1,38 euro, principalement grâce aux tarifs de brut qui continuent de chuter légèrement. Mi-mars, le litre de gazole était de 1,3872 euro, et il est maintenant en moyenne de 1,3788 euro. Une très faible baisse qui devrait en toute logique n'être que temporaire. Pour l'essence, le constat est différent. Le litre de sans-plomb 95 est passé de 1,58 euro à la mi-mars à 1,5994 euro en fin de semaine dernière, tandis que le sans-plomb 98 atteint 1,6545 euro, contre 1,6354 euro à la fin de la première quinzaine de mars.
Malgré tout, les prix restent toujours aussi proches des records atteints l'an dernier.














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