Après quelques repas gras copieux et bien arrosés, notre corps repu demande du repos et par conséquent se complait dans les nourritures (spirituelles) légères, volatiles et rafraîchissantes.

Il fallait donc trouver une saucisse ayant une thématique d'évasion et optant pour la finesse ce qui semblait au premier abord difficile voir impossible. Mais c'était sans compter sur les goûts douteux d'un tuner amateur de charcuterie allemande et de fruits de mer.

Au premier coup d'œil ça pique, au deuxième ça agresse, et au troisième on est a la limite du malaise vagal. Aucune partie de cette Mercedes n'est épargnée par la peinture qui nous propose vagues, plages, tho...heu sirène avec un sens artistique abyssal. Dans l'habitacle, difficile de savoir si ça sent la crevette, et même si la teutonne ne prend pas trop de rouli dans les virages on est obligatoirement touché par le mal de mer.