La prime à la casse a disparu en 2011, et les différents bonus pour l'achat d'un véhicule "propre" ont baissé en 2012, ce qui n'aide probablement pas la vente de véhicules neufs déjà plombée en Europe par une crise économique importante. Les premières voix à se faire entendre sont à mettre sur le compte de Renault, puisque Carlos Tavares, le patron de la marque au losange, a affirmé hier : "ce que j'aimerais voir, c'est un soutien pour les marchés européens et en particulier français".
Par "soutien", Carlos Tavares entend par exemple le retour de la prime à la casse, qui avait très bien marché pendant son implantation et avait permis aux constructeurs français de vendre en masse (même si nous ne connaissons pas vraiment le coût réel de cette opération pour l'Etat français). Mais peu importe la méthode, prime à la casse ou autre aide financière, le numéro 2 de Renault attend un soutien majeur des gouvernements à l'échelle européenne.
Aujourd'hui même, Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, a annoncé qu'une aide était à l'étude pour le secteur automobile : "Le secteur automobile fait l'objet aujourd'hui d'une instruction particulière au ministère. Nous ne sommes pas en mesure de vous donner des informations, car nous avons besoin d'en discuter avec le Président de la République et le Premier ministre".
















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