
Après un premier semestre très encourageant, Lamborghini a continué sur sa lancée, faisant de 2021 le meilleur millésime de son histoire en termes de ventes.
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Après un premier semestre très encourageant, Lamborghini a continué sur sa lancée, faisant de 2021 le meilleur millésime de son histoire en termes de ventes.

S’il y a peu de nouveautés cette année dans la catégorie des découvrables, elles sont d’importance. Ainsi Mercedes renouvelle son cabriolet haut de gamme SL qui se nomme désormais Mercedes-AMG SL. Quant à Chevrolet, la version Z06 de la Chevrolet Corvette Cabriolet est prête et avec son V8 de 679 ch, elle va vraiment décoiffer !

Pour fêter l'anniversaire du studio Porsche Design, la marque dévoile un modèle de 1972 restauré et une série spéciale de l'actuelle 911.

La voiture à pédales est de retour mais cette fois-ci équipée d’une assistance électrique. La société Podbike lance le Frikar, un vélomobile homologué, capable de rouler jusqu’à 25 km/h et vendu 6 249 €.

500 exemplaires de cette version plus radicale de la GR Yaris sont disponibles. Problème : cela se passe au Japon !

La courroie de distribution est un organe important d'un moteur thermique. Et tous les modèles équipés imposent un échéancier de remplacement, en kilomètres et en temps. Mais cette opération, de coûteuse à très coûteuse, est-elle si importante qu'on le dit ? C'est la question occasion de la semaine.

Pour la première fois, fin 2021, il s'est vendu plus d'électriques que de diesel en Europe.

La berline électrique de Porsche prend la suite d'une Mini et d'une BMW.

Le ludospace de Peugeot, le Rifter passe aujourd’hui à l’électrique. Mais attention, il ne s’agit pas d’une motorisation supplémentaire mais désormais de la seule disponible au catalogue. Celle-ci est-elle réellement compatible avec la vocation familiale d’un lusdopsace ?

Sur le sujet autoroutier, régulièrement médiatisé, il est pour le gouvernement urgent de ne rien faire. À l’entendre, la nationalisation des sociétés d’autoroutes (ou la rupture anticipée de leurs contrats) coûterait trop cher à l’État, de l’ordre de 40 à 50 milliards d’euros, alors qu’il suffit de patienter jusqu’à la fin des contrats avec Vinci, Eiffage et Abertis pour pouvoir reprendre la main sans rien avoir à débourser. Vrai ? Pas du tout… Retour sur cette problématique pour essayer d’y voir plus clair.