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Commentaires - Les pépites du Mans Classic 2025 : Porsche 904 GTS

Stéphane Schlesinger

Les pépites du Mans Classic 2025 : Porsche 904 GTS

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En réponse à roc et gravillon

... pas pigé la dernière phrase. :voyons:

   

Elle a utilisé du carburant synthétique et ça s’est très bien passé, comme pour le reste du plateau 4.

Comme tout le plateau 4, elle a brûlé dans son moteur du carburant de synthèse fourni par Aramco, et le moteur n’a même pas cassé malgré l’usage de ce nouveau carburant.

Message subliminal :

Deutsche Qualität, c’était du solide avant, le carburant de synthèse c’est l’avenir pour rouler en voiture de collection, le reste peut passer à l’électrique.

Par

"porte la cylindrée de 1,5 l à 2,0 l, pour une puissance de 180 ch. La voiture ne pesant que 650 kg ".Effectivement cela abien changé.

La 911 des années 70 avait une cylindrée de 2,7 pour seulement 150CV et 1000kg en carrosserie normale. C'était modeste comparé aux puissances d'aujourdhui où 500cv sont fournis avec un 4litres pour bouger 1500Kg.

Par

En réponse à Altrico

Elle a utilisé du carburant synthétique et ça s’est très bien passé, comme pour le reste du plateau 4.

Comme tout le plateau 4, elle a brûlé dans son moteur du carburant de synthèse fourni par Aramco, et le moteur n’a même pas cassé malgré l’usage de ce nouveau carburant.

Message subliminal :

Deutsche Qualität, c’était du solide avant, le carburant de synthèse c’est l’avenir pour rouler en voiture de collection, le reste peut passer à l’électrique.

   

Ça je le savais... ils ont assez communiqué là dessus.

Entre temps, le Schlé a discrètement remplacé le mot "bulé" par "brûlé", rendant la phrase intelligible.

Par

En réponse à roc et gravillon

Ça je le savais... ils ont assez communiqué là dessus.

Entre temps, le Schlé a discrètement remplacé le mot "bulé" par "brûlé", rendant la phrase intelligible.

   

La phrase sans virgules, on peut aussi comprendre que la voiture a brûlé sans casser son moteur.

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Par

En réponse à xblehavre

La phrase sans virgules, on peut aussi comprendre que la voiture a brûlé sans casser son moteur.

   

Et oui, la ponctuation, c’est important…..

Par

En réponse à ZZTOP60

"porte la cylindrée de 1,5 l à 2,0 l, pour une puissance de 180 ch. La voiture ne pesant que 650 kg ".Effectivement cela abien changé.

La 911 des années 70 avait une cylindrée de 2,7 pour seulement 150CV et 1000kg en carrosserie normale. C'était modeste comparé aux puissances d'aujourdhui où 500cv sont fournis avec un 4litres pour bouger 1500Kg.

   

Les 2.7 RS avaient 210 cv.

Les 2.8 rsr, 300.

Par

En réponse à roc et gravillon

Ça je le savais... ils ont assez communiqué là dessus.

Entre temps, le Schlé a discrètement remplacé le mot "bulé" par "brûlé", rendant la phrase intelligible.

   

Ben je te dis ce qu’il y a écrit dans la dernière phrase, qui marche aussi avec buler. Je ne tiens pas à jour ton carnet de connaissances aquises durant l’année scolaire. Je ne suis pas ton précepteur. J’ai aussi lu l’article sur caradisiac concernant ce carburant, maintenant cet article ne comporte pas la traditionnelle mention "modifié le" et l’auteur ne t’a pas répondu.

Parfois aussi on lit mal, surtout vu la tournure de phrase.

Par

vue en vrai un jour, peut être une replique, en plaques UK, de profil le physique est assez étrange avec un capot et une cellule très typée course mais un arrière bizarre.

Par

En réponse à roc et gravillon

... pas pigé la dernière phrase. :voyons:

   

Je crois… Elle a utilisé du carburant synthétique sans casser le moteur…

Par

Bien que la 904 ait été officiellement conçue par Butzi Porsche (le fils de Ferry Porsche, et designer de la 911), Ferdinand Piëch, jeune ingénieur à l’époque, a joué un rôle important dans la direction technique du projet, notamment sur le châssis et les performances.

Selon plusieurs sources historiques (notamment Karl Ludvigsen, Brian Long, ou Paul Frère), Piëch a discrètement dépassé les limites de production en continuant à faire construire des 904 au-delà des 100 exemplaires nécessaires, sans autorisation formelle de la direction. Au final, plus de 120 unités furent produites (certains disent jusqu’à 132).

Ce comportement — typique de Piëch : volontariste, technocratique, secret — a été très mal perçu par le reste de la famille, qui gérait Porsche à l’époque.

Il passait pour un ingénieur dangereux, trop dépensier, ne respectant pas les décisions de groupe.

C’est l’un des éléments qui ont conduit à l’accord familial de 1972, où il a été décidé que plus aucun membre de la famille Porsche ou Piëch n’occuperait de fonction opérationnelle chez Porsche. Cela a poussé Piëch à poursuivre sa carrière chez Audi, où il est devenu l’un des plus puissants industriels d’Allemagne. Sans la 904, il aurait pu finir sa carrière chez Porsche et la marque n’appartiendrait pas actuellement au groupe VW.

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C'est la voiture que Porsche voulait faire plutot que la 911.

Elle avait terminé à 2e place au Rallye de Monte-Carlo en 1965 avec Eugen Böhringer .

Par

L' époque où il fallait produire un certain nombre d' exemplaires utilisables sur routes ouvertes à la circulation d' un modèle destine à la vente aux ménages , pour pouvoir participer au Mans, au Monte-Carlo ou au Tour Auto . En 1964, c' était 100 exemplaires produits en 12 mois consécutifs pour participer dans la catégorie groupe 4 .

Au moins Porsche est-il allé jusqu' au bout de la démarche, contrairement à Ferrari avec son 250 LM , non homologué en groupe 4 faute d' avoir été produit en nombre suffisant suffisant .

Un modèle tel que le 328 de B.M.W. d' avant-guerre était aussi polyvalent .

 

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