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Après Volkswagen, Mitsubishi avoue avoir triché

Dans Ecologie / Electrique / Autre actu écologie

Audric Doche , mis à jour

Décidément, les retombées de l'affaire Volkswagen semblent sans fin. C'est désormais Mitsubishi qui passe directement aux aveux en annonçant "des irrégularités de tests d'émissions". Cela concernerait quelque 600 000 véhicules, la plupart de petits gabarits, et certains produits pour Nissan.

Après Volkswagen, Mitsubishi avoue avoir triché

Mise à jour mercredi 20 avril 14 h 00 : Contrairement à Volkswagen, l'affaire est ici différente. "Mitsubishi est suspecté d'avoir manipulé les charges sur les pneumatiques pour que les résultats des tests d'homologation soient meilleurs".

 

Mise à jour mercredi 20 avril 13 h 45 : Mitsubishi a annoncé que les véhicules concernés sont les eK Wagon et eK Space (des "kei cars" vendues au Japon) ainsi que les Dayz et Dayz Roox assemblées pour Nissan. Il ne s'agit donc en aucun cas de modèles européens ou américains, mais uniquement de véhicules destinés au marché japonais.

 

Mercredi 20 avril 10h00 : L'affaire Volkswagen a propulsé le groupe allemand dans une spirale compliquée où le géant se fait attaquer de toutes parts, notamment des Etats-Unis avec des procès qui se multiplient. Le trucage logiciel des moteurs était jusqu'ici une spécificité du groupe Volkswagen mais la donne change aujourd'hui puisque Mitsubishi vient d'annoncer des "irrégularités de tests d'émissions".

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Selon les médias japonais, la présumée fraude concernerait plus de 600 000 véhicules de petits gabarits (150 000  Mitsubishi et 468 000 véhicules assemblés pour Nissan). Le constructeur nippon vient tout juste de présenter un point presse au Japon depuis le ministère des Transports et avec la présence du patron de la marque, Tetsuro Aikawa.

 

Mitsubishi a confirmé avoir découvert que certains employés avaient falsifié les données d'émissions polluantes des véhicules. La chose a été permise grâce à Nissan qui pointait apparemment du doigt des "inconsistances" dans les tests d'émissions de ses véhicules assemblés par Mitsubishi. Cela a ensuite conduit le constructeur à mener son enquête.

Il apparaît encore une fois étonnant que personne n'ait été au courant dans les rangs de Mitsubishi et que l'affaire ait été déclenchée au départ par un tiers, à savoir Nissan. L'action Mitsubishi s'est en tout cas effondrée en bourse avec une perte de plus de 16 % ce matin.

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