C'est une saga française. Celle d'Amédée Gordini qui a donné son nom à des bombinettes. Celles qu'il a développées pour Simca, puis pour lui-même, avant de passer dans le giron de Renault qui lui offrira le meilleur (des modèles retravaillés) mais aussi le pire : des autos dont le nom Gordini n'était plus qu'une finition, et une couleur pseudo-sportive.