Voici l’épilogue de l’histoire des moteurs cassés de la Scuderia Ferrari lors d’un Grand Prix d’Australie douloureux pour elle. Non, ce n’est pas l’ECU qui a eu raison des mécaniques italiennes, du moins en course. C’est plutôt de l’essence badgée du coquillage que vient la coquille. Un précieux liquide qui n’aurait pas digéré la montée dominicale des températures :
« Ce n’était pas un problème avec l’ECU » annonce Maranello. «C’était un problème d’alimentation en carburant en partie lié à la chaleur de Melbourne. Ceci a provoqué une défaillance de la soupape d’admission, sur les deux moteurs. Ce n’était pas un problème de contrôle de qualité, ni de refroidissement. »
« Nous travaillons d’arrache-pied sur l’amélioration de la cartographie, et nous avons la certitude que ce problème ne se reproduira plus. » Pour clore son chapitre australien, les rouges s’en remettent ainsi à la fatalité.
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