Une démarche artistique ne se juge pas puisqu’elle est dictée par les plus bas instincts de la personne qui la réalise.. sa chair, son sang, ce qu’il est.. Un melting pot de son existence et ce qu’il a vécu, qui conditionne une œuvre a travers laquelle il souhaite faire passer un message..

Pour cette Mazda 323, j’ai beau retourner le problème dans tous les sens j’ai beaucoup de mal a trouver la ligne directrice de ce projet animé par des flammes, des trolls, de la tête de mort, et une représentation du diable sur la casquette de tableau..

La péninsule ibérique regorgeant de lieux de culture, comme le musée Guggenheim, la Fondation Miro ou encore le musée du Prado, voit en cette réalisation une nouvelle exploration de l’art espagnol. Il y a fort a parier que les Cervantes, Picasso et autre Dali, peuvent se rassurer en se disant que la relève est assurée..

Mon coup de cœur est à mettre sur le compte de l’habitacle qui nous transporte dans un autre monde.. effectuer des kilomètres a son bord doit être assez traumatisant..

Source : Maxituning.es