Il est 22 heures et, ce soir, ayons des préoccupations de riches.


Chercher à se distinguer lorsque l’on est pété de thune c’est bien ; avoir du bon goût et un sens affûté de l’histoire c’est mieux. D’autant qu’on peut aussi se les payer…


Car franchement, les Ferrari nées ces derniers mois de commandes spéciales n’auront rien apporté de mémorable à l’histoire de la marque. Prenons par exemple la P540 Superfast Aperta (cf. photo) basée sur une 599. A part le fait de rouler cheveux à peine au vent, comment son propriétaire a-t-il pu accepter une poupe aussi désuète ?


Si le département sur-mesure de Ferrari est tout juste bon à ressortir de vieilles formes sur des modèles contemporains, on peut vraiment s’interroger sur son bien-fondé. S’il s’agit de vendre du rêve aux riches, autant les orienter sur des programmes type F1 client ou 599XX…