Personnellement je verrais même plutôt un double cas Mercedes. Il ne m’appartient pas de penser s’ils ont ou non partie liée. Pas ici, pas maintenant.


« Premier cas ». Sans doute aurez-vous noté en observateur du monde de l’automobile, que tous les partenariats étroits entre Mercedes et d’autres constructeurs, toutes les prises de participations et autres fusions ont mal fini ces dernières années. L’exemple le plus patent est évidemment la reprise puis la séparation d’avec le groupe Chrysler – Fiat étant peut-être d’ailleurs en train de réussir justement là où Mercedes (Daimler) a échoué. Comment expliquer de tels échecs ? Sans doute par une identité, par une culture, du groupe Daimler tellement forte, tellement stricte qu’elle ne permet pas d’association étroite avec d’autres.


« Deuxième cas ». Quelle autre marque au monde peut-elle se prévaloir d’une gamme aussi large, allant de la citadine chic type Smart à la limousine ultra luxueuse et exclusive type Maybach en passant par toutes les nuances, quasi infinies, des modèles Mercedes qu’ils soient auto, camions, bus, autocar ou encore camions poubelles. Car telle est la prouesse réussie par Mercedes : apposer son nom et son logo aussi bien sur un autobus grand public que sur une exclusive Classe S sans que le client de cette dernière ne se sente le moins du monde touché. A moins que…


La suite est entre vos doigts.