A l’heure actuelle, Nissan est présent en Super GT avec des GT-R (photo) mais également en endurance. Seulement, l’audience du Super GT ne dépasse guère le Japon où l’essentiel des courses y est disputé. Quant à l’endurance, le constructeur japonais ne fait que proposer des blocs à des écuries LMP2 même s’il en soutient également une d’un point de vue marketing (il s’agit de l’écurie française Signatech). Cette année, il s’est également investi dans le projet Deltawing, fournissant le moteur et, là encore, soutenant d’un point de vue marketing l’aventure. Mais cette présence en endurance ne présente pas l’envergure d’un programme officiel dans lequel Nissan s’engagerait pleinement et directement.
Or c’est un programme de ce type que Nissan cherche à monter. Et si la possibilité de s’engager en DTM ou en WTCC est actuellement évaluée, comme l’a expliqué Simon Sproule, patron du marketing et de la communication de Nissan monde, d’autres programmes sont également évalués… comme le WRC et l’endurance. Si jamais Nissan devait s’engager plus avant en endurance on imagine que le constructeur opterait pour la catégorie reine du LMP1 et attendrait la mise en place du nouveau règlement dont l’entrée en vigueur est programmée pour 2014.
Le dossier est ouvert et à suivre.
















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