Le Premier ministre Dimitri Medvedev vient ainsi d'annoncer que son gouvernement allait se porter au chevet de son marché automobile sujet à de fortes contractions. "Nous allons bien évidemment réfléchir à la manière de stimuler ce marché", a-t-il dit commenté, ne s'étendant cependant pas sur le sujet. Mais des pistes se sont faites jour.


Ainsi, le même Medvedev avait assuré dès la mise en place de mesures de rétorsions économiques que celles-ci seraient frappées du sceau du discernement. Un message à l'adresse de ceux qui ont investi en Russie même. Or, dans une conjoncture qui voit un marché russe de l'automobile se replier de 7% depuis le début de l'année, il y a fort à parier que les dirigeants russes favoriseront leur emblème Avtovaz. Celui-là même qui est passé fin juin sous le contrôle de l'alliance Renault -Nissan.