Tout a commencé le 14 mai du côté de l'entreprise Oyak-Renault, considérée comme la plus grande usine automobile du pays. Parce-que leurs homologues de chez Bosch venaient d'obtenir une sensible amélioration de leurs conditions, les 15.500 ouvriers qui s'occupent notamment de la naissance des Clio ont décidé de réclamer une hausse de 60% de leur salaire. Ce qui n'est pas rien. Une bonne idée que des employés de l'usine de Tofas à Bursa ont décidé de décliner au grand dam de Fiat. Depuis, les lignes d'assemblages de deux sites sont stoppées.
Renault touché, Fiat impacté, voici que c'est maintenant au tour de Ford de découvrir la grève en Turquie. Le travail a ainsi cessé dans l'entreprise Ford Otosan qui a valeur de deux sites de production à Kocaeli. Des véhicules utilitaires sortent de ce site qui emploie 6.000 personnels. Officiellement, c'est parce-que les pièces détachées manquent pour poursuivre le travail que l'activité a cessé. Mais la réalité semble plutôt indiquer les prémices d'une grève générale.
















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