
L'INFO DU JOUR. Pour le patron de Renault France, la R5 est un "accélérateur d'électrification", qui peut attirer à la marque une nouvelle clientèle.
L'INFO DU JOUR. Pour le patron de Renault France, la R5 est un "accélérateur d'électrification", qui peut attirer à la marque une nouvelle clientèle.
Le combat entre la Peugeot 208 et la Renault Clio a finalement tourné à l'avantage de cette dernière pour la tête du marché automobile français en 2024. Mais les résultats ne sont pas bons.
S’il y a bien une catégorie où les marques automobiles françaises dominent la concurrence, c’est bien celle des citadines. Les groupes Renault et Stellantis séduisent beaucoup plus la clientèle que Volkswagen, Toyota et les autres marques généralistes.
Grâce aux jolis résultats de la Clio mais surtout à ceux de sa citadine low-cost la Dacia Sandero, le groupe Renault bat Volkswagen au podium des meilleures ventes du marché européen.
Alors que Nissan entame officiellement ses discussions officielles avec Honda, Renault prend acte de cet éloignement en préparation. Bientôt la fin d’une histoire d’amour aux dernières années tumultueuses.
Il disperse façon puzzle. L’ex-patron de Renault Nissan crache sur ses ennemis, comme le lama de Tintin, dans l’interview qu’il a donné à l’agence Bloomberg. Sous couvert de livrer une analyse sur la fusion en vue entre Nissan et Honda, le franco-libano-brésilien n’en finit plus de régler ses comptes.
L'INFO DU JOUR - Les deux constructeurs japonais pourraient bien convoler dans les prochains mois et constituer ainsi le troisième groupe mondial derrière Toyota et Volkswagen. Une fusion qui pose des questions, chez Renault notamment, toujours actionnaire de Nissan et, au-delà, à toute la planète automobile.
Avec son nouveau réseau de points de vente haut de gamme situés au cœur de dizaines de grandes villes à travers le monde, Renault cherche à « remettre de l’émotion dans l’achat », et en oublie ses voyelles au passage. On a enfin compris pourquoi.
L'ACTU DE LA SEMAINE EN PHOTO - C'est le choc des derniers jours : Stellantis annonce le départ de son patron, Carlos Tavares. Une "démission" et des questions qui restent en suspens sur sa succession et l'avenir du groupe. En face, chez Renault, on se félicite des bons débuts de la R5 électrique, mais attention au risque du feu de paille.
Pressenti pour prendre la direction du groupe Stellantis en remplacement de Carlos Tavares après avoir contribué au redressement de Renault, Luca de Meo explique qu’il n’a « pas fini le travail ».
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