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En décembre, Renault se séparera de quelques bijoux de famille pour mieux préparer l'ouverture de son futur musée sur le site de Flins.

Alors qu’Alpine remplace Renault en Formule 1 depuis 2021, une rumeur étrange annonce que la marque au losange pourrait reprendre le flambeau dès la saison 2026. Une telle stratégie serait difficile à comprendre et paraît même improbable, alors que l'écurie vient de nommer un nouveau patron.

Pour sa 31e édition, dont les gains sont, comme toujours, reversés à la lutte contre le cancer, la manifestation "Sport et collection" fait la part belle aux anciennes Formule 1, avec les autos de la collection Richard Mille et de Renault Sport. À admirer tout le week-end sur le circuit du Vigeant.

Les explications du directeur général du groupe Renault sur l’abandon du moteur conçu en interne ne cadrent pas avec les règles imposées actuellement par la discipline ni le fonctionnement de ses concurrents.

LES VOITURES LES PLUS RAPIDES DU MONDE - Il a lui aussi battu un record, en 1937 sur le circuit de Montlhéry. Mais après une première vie consacrée au sport auto, le sorcier s'est renouvelé en créant des sportives dérivées de modèles Renault, mais toujours en bleu à bandes blanches.

C'est un feuilleton, bricolé, sorti de la nuit des temps. Pourtant, cinquante ans après sa diffusion, c'est l'occasion de retrouver quelques circuits oubliés et quelques autos qui le sont tout autant.

L’INFO DU JOUR – Alors que le groupe au losange annonçait avoir tourné la page du moteur Renault en créant l’Hypertech Alpine, les salariés de l’usine de Viry-Châtillon semblent très loin d’être convaincus. Leur résistance paraît désormais désespérée et ils s’en remettent aux « pouvoirs publics ». Quant au patron de Renault, il se défend dans les colonnes de L'Equipe.

Alors qu’ils essaient de peser sur la direction du groupe Renault pour faire annuler la décision d’arrêter la fabrication des moteurs en Formule 1, les salariés d’Alpine F1 seront au Grand Prix d’Italie ce week-end pour manifester de manière pacifique. Ceux qui ne pourront pas s’y joindre se mettront en grève. 

L’INFO DU JOUR – Est-il encore possible de faire machine arrière dans la décision de Renault d’arrêter de fabriquer des moteurs en Formule 1 ? Il se joue sans doute bien plus que de simples économies pour le constructeur français impliqué dans la discipline reine, dont Alpine cherche à s’imposer comme une marque d’excellence mondiale.

Imagineriez-vous les Formule 1 d'Alpine motorisées par un moteur Mercedes, Ferrari, Audi ou Honda ? Eh bien c'est réellement ce qui pourrait se passer dès la saison 2026 du championnat du monde.