Commentaires - Crise: La Fiat dans la tempête et placée "sous surveillance négative"

On parle beaucoup d'une alliance avec P.S.A.... Pour les plus jeunes je rappele que Fiat a déja été "marié" avec Citroen dans les années 60 ( ou 70 ? ) . A  l'époque Citroen étant  a court de liqidités ne savait pas combler te trou béant entre la DS et l'Ami 6 et distribua durant quelques années des Autobianchi dans son réseau tout en continuant la mise au point de la GS.

Il serait interressant de savoir comment sont notés les autres groupes automobiles , surtout ceux dont les produits subissent des baisses de vente bien plus importantes .

Encore une agence de notation qui fait "une recommandation négative"....au delà de l'alliance , que je ne pressens pas comme géniale ni comme très rentable, du moins pourr l'instant, je me retranche dérrière l'avis partagé par beaucoup, beaucoup de gens et d'acteurs du marché..;faut il faire confiance aux recommandations d'une agence, qui comme d'autres , faisait il y a peu des recommandations positives et tournées vers l'avenir pour des JP Morgan, Citigroup, Lloyds, Barclays, AIG, Freddy Mac, Fanny Mae et bien d'autres qui depuis des semaines ont périclipé ou vivent grace aux subsides des états...Bonjour le capitalisme et le libéralisme des gros patrons , des gros spéculateurs, et des destructeurs d'emplois ! Ficht ( nationalement reconnue, mais c'est pas pour cela qu'on est bon, il y a partout dans le monde des marques que tous connaissent mais qui sont de la "merde") place sous une recommandation négative un groupe alors que certes la conjoncture est difficile mais que le groupe dispose encore de plusieurs milliards d'euros de liquidités. Déclin des branches du groupe Fiat, c'est sur qu'à force de dire tout haut ce genre de chose , les actionnaires vont vendre, à corire que ces agences travailent en sous marin pour des concurrents ou pour des investisseurs qui souhaitent acheter au plus bas ou pour rien. Il est facuile de placer sous "recommandation négative" une entreprise dès l'instant où celle ci va faire des investissements et par là même réduire un tant soit peu les dividendes des actionnaires , mais l'avenir de se fait pas que sur des énormes profits basés sur un outil industriel dépassé et amorti plusieurs fois, il faut aussi investir si l'on veut pérenniser une soicété et faire dans le futur des profits et rémunérés les actionnaires de leurs leurs participation. Les agences de notation vivent encore sur les principes de spéculation, de maximisation des dividendes et sur le court terme, mais elles n'ont rien compris au marché et à ce qu'est l'industrie et la production, c'est là leur plus gros problème tout comme leur manque d'honnêteté dans les avis qu'elles émettent. Elles ont pendant longtemps joué le jeu des spéculateurs et endormi l'actionnaire lambda en se faisant juge de paix sur la santé d'entreprises qu'elles ne connnaissaient qu'à travers des chiffres et des tableaux. faut arrêter de croire en la sainte parloe de ses socités qui vivent elles aussi sur le dos des autres, elles sont un peu les parasites du capitalisme, alors ils faut les éradiquer ou fermement les controler avant qu'elles ne fassent encore une fois sombrer l'industrie dans la crise. Et si ça ne suffit pas, il faudra bien par finir par couper quelques têtes et faire disparaitre ces cabinets de la mort de l'économie mais de la vie des traders et leurs amis spéculateurs....N'oublions pas que Fitch n'est aps qu'une agence de notation mais aussi une banque et se permet de noter des villes et leur gestion comme Levallois, l'AP-HP, l'Acoss ( agence centrale des organismes de sécu sociale) et bien d'autres cas ....Au fait Fitch, ça vaut combien aujourd'hui , en consultant les annotations boursières d'il y a quelques jours ,pas beaucoup , et quelles sont les avis sur ce groupes financiéro-notationniste, pas excellents , si j'ai bien traduit les notes Us et anglaises sur la dites affaires. le groupe aurait besoin d'une aide de létat pour se maintenir à flots dans quelques temps que cela n'étonnerait personne dans le monde de la finance spéculative.alors avantde détruire les autres par des avis "autoorisés" mais pas objectifs , ni compétents, on balaie devant sa porte et on gère correctement son entreprise et la vie de ses salariés avant de penser à ses seuls gros profits....Pas fan de notre président, mais il a quand même raison quand il demande une vraie moralisation des systemes et circuits financiers tout comme il souhaite un contrôle de ses dites agences de "notations"..Notons les via les états et nous aurons des surprises , et beaucoup disparaitront aussi vite qu'elles ont poussé il y a 20-30 ans....Laissons Fiat agir et que Fitch s'occupe de sa gestion avant de faire "chier" les autres avec des avis d'incompétents et de spéculateurs. Et pour ceux qui voudraient écouter les avis de ces "spécialistes" à deux euros de l'automobile et de l'investissement dans ce secteur de l'industrie , il suffit de les écouter exposer leurs théories "théoriques" sur le marché ( je rappelle qu'il y a pas plus loin que deux ans à peine, ils voyaient tous la hausse du marché auto progresser pendant encore des années, et ils n'avaient rien vu de la crise des subprimes, de la hausse du pétrole et des matières premières..) sur la Radio BFM Eco lors des émissions liées à l'automobile et son environnement, c'est à pleurer de rire...ou de colère debvant tant de bêtises et d'imcompétences. ce n'est pas parce qu'on roule en Porsche Ferrari, ou Aston , qu'on est un vrai connaisseur de la chose automobile et du secteur, tout juste a t on gagné de l'argent pour avoir de belles autos, sinon , autant demander son avis à Paris Hilton ou Brittney Spears , elles possèdent bien des Bentley, des Ferrari, des Porsche, des Maybach...et vu le nombre qu'elles ont chacune , qu'est ce qu'elles doivent être compétentes...lol

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@gentlemanscooper: J'espère pour Fiat qu'elle ne dispose pas de plusieurs milliards de liquidités! Cela voudrait dire que c'est un entreprise bien mal gérée... Une entreprise n'a aucun intérêt à disposer de milliards de liquidités, étant donné la perte d'opportunité que constituerait le non placement de cette somme. Autre problème dans votre argumentation: encadrer les pratiques des agences de notation par l'Etat, pourquoi pas, mais peut-être qu'il se poserait alors un problème politique. Car une agence de notation française noterait-elle de la même façon une entreprise française qu'une entreprise allemande équivalente, dans le même secteur d'activité? l'Etat contrôlant les agences de notation ne serait-il pas tenté de faire pression sur celles-ci par intérêt stratégique? Je ne suis pas sûr que cela soit plus morale qu'actuellement... Par contre, on pourrait imaginer que l'Etat finance le fonctionnement de ces agences, pour que celles-ci ne soient plus payées par les entreprises elles-mêmes (ce qui est le cas aujourd'hui), sans pour autant prendre le contrôle de ces agences. Mais il ne faut pas rêver, c'est politiquement inconcevable. Et puis comment déterminer la qualité d'une agence de notation? Sur quels critères se baser? Sur la justesse des notes publiées? Mais dans ce cas, qui pourra dire que les notes sont juste ou pas justes, réalistes ou non? On en revient toujours au même problème... Ensuite, je crois que vous confondez agence de notation, bourse, spéculateurs, grands patrons, etc dans votre exposé... Où avez-vous vu que les employés des agences de notations étaient des spéculateurs? Ce n'est pas leur métier que de spéculer sur les marchés financiers! Ils n'achètent pas en masse les actions d'une entreprise, en pariant sur une hausse du cours de ces actions, afin de réaliser une plus-value. Leur rôle est simplement de fournir des informations (pertinentes ou non, là n'est pas la question) aux marchés financiers. Après si certains s'amusent à spéculer via les informations fournies, libre à eux, mais ce n'est pas le problème des agences de notation. Pour finir, vous me faites bien rire avec vos critiques a propos des prévisions erronées du marché automobile, fournies il y a deux ans. Premièrement, ces prévisions ne peuvent se baser que sur les informations disponibles au moment où elles ont été réalisées. Cela implique que le choc exogène que constitue la crise économique que nous vivons n'a pas été prise en compte, étant donné que personne n'a pu le prévoir avant qu'il ait lieu, dans les modèles de prévisions de croissance du marché automobile. Deuxièmement, même si cette crise avait pu être prévue par les conjoncturistes, personne ne pouvait en connaitre l'ampleur avant d'y être confronté. C'est le propre des cycles économiques: on ne peut jamais savoir où on se situe dans la phase de croissance ou de récession. Dans ce cas, faut-il se montrer pessimiste ou optimiste quant à l'ampleur de la crise? Impossible de savoir. Pour ses deux raisons, le meilleur comportement à adopter est celui qui consiste à extrapoler la situation présente, en attendant le choc, ce qui permettra d'ajuster les prévisions, en incluant le choc. Enfin, troisièmement, si on considère que les prévisionnistes ont prédit une croissance du marché automobile pendant encore des années, on peut encore très bien penser que cette croissance aura bien lieu sur le long terme, cette période de crise n'étant qu'un "passage à vide" dans la courbe de croissance du marché. Par exemple si le marché est en croissance de 10% sur la prochaine décénie, cela n'empèche pas d'avoir des période de décroissance, qui seront compensées par des périodes de croissance plus importantes. Au final, on arriverait bien à une croissance sur toute la décennie. J'espère avoir été assez clair pour les non-économistes présents sur ce blog.

Les agences de notations sont tout aussi incompétents que les banques et on voit le résultat, ce ne sont que des suiveurs car comme le rappelle gentlemancooper avant la crise ces mêmes agences disaient "tout va bien, untel a une note de AAAAAAAA super solvabilité qui déchire", bon bah maintenant untel et untel coulent ah ah ah ah, vraiment il y a une bande d'incapables dans ce monde et après ils donnent des leçons, encore pire.

Pas sur que votre avis très théorique et très bancaire soit la bonne solution en ce moment , le pragmatisme et le bon sens ainsi qu'une gestion en bon père de famille sont des valeurs plus sures actuellement dans la gestion des entreprises sauf à vouloir vivre de subsides ou d'aides des états ( cf les Big Three ). Les liquidités et la trésorerie ( 3.9 milliards d'euros pour Fiat au 31/12/2008 ) sont en cette période de crise économique, financière, bancaire montrent une capacité à l'autofinancement, à la possibilité de se défendre contres des actions boursières ou financières hostiles ,mais aussi cela peut servir au cas où, à préserver les salariés et l'emploi. On peut donc vivre sans les prêts et les fonds divers et variés qui ne sont làa que pour spéculer et non investir notamment dans l'avenir quitte à perdre un ou deux ans durant, des dividendes juteux. Le court terme est un avis de banquiers pas celui d'un d'industriel ou d'un chef d'entreprise. Pour ce qui est de la prévision de la hausse du marché automobile à long terme , il est assez facile de faire cette constatation quand on analyse le marché "a postériori" et on peut faire le même constat pour dans 15 ou 20 ans quand les marchés indiens, chinois , russes auront explosé. mais rien n'est moins sur, les richesses de touts temps n'ont jamais été partagées par tous, alors wait and see , mais rien n'est acquis et le rappel d'une hausse anticipée depuis 20 ans est facile et ni très juste ou honnête car évidente ( une caractéristique récurrente chez les banquiers !). Je ne suis ni anti capitaliste, ni anti libéral , ni théoricien gauchiste , seulement j'essaie de voir la situation en face avec un peu d'objectivité mais aussi une passion pour le boulot que je fais et qui consiste en la gestion de plusieurs concessions et de ses salariés qui a mes yeux valent bien plus que toutes les spéculations financières ou toutes le notations bidouillées et peu convaincantes sur les entreprises. La vie des entreprises et de l'industrie passe bien plus par les hommes que par les boursicoteurs et spéculateurs de tous poils mais ça l'économie théorique et bancaire l'a trop oublié et va en payer un peu la note ....

La première chose que l'on m'a enseigné en gestion d'entreprise, c'est qu'une entreprise ne se gérait justement jamais comme un bon père de famille, alors le bon sens, je m'en méfie... Ne vous méprennez pas, je ne défends pas du tout le système des agences de notations (peut-être que mon précédent post l'a laissé supposer). Je suis d'accord avec vous concernant le fait qu'en cas de crise, il est nécessaire poour une entreprise d'avoir du cash, d'ailleurs, on l'a bien vu, ce sont les entreprises qui n'avaient pas assez de liquidités à disposition qui ont eu les premières difficultés. Mais, j'ai quand même du mal à croire que plusieurs milliards de trésorerie soient vraiment utiles. Surtout pour Fiat, qui devrait logiquement avoir un fort pouvoir de négociation avec les banques. Mais bon, je pense que les dirigeants de Fiat sont mieux placés que moi pour parler de leur situation. Par contre, je vous trouve bien optimiste pour croire que la liquidité puisse permettre de sauvegarder des emplois. En outre, je pense qu'il est difficile de comparer des PME, qui elles, peuvent dans certains cas survivre sans crédits (j'en ai vu un exemple récemment), et les grosses entreprises comme Fiat, qui sont obligées de passer par les banques et aussi par les marchés financiers, non pas pour spéculer (je ne dis pas que ce n'est jamais le cas, mais en tout cas, cela ne devrait pas avoir lieu,) mais pour pouvoir se financer à moindre coûts.  Concernant l'éventuelle croissance du marché automobile, "wait and see" me semble être un bon résumé de la situation. C'est d'ailleurs un peu ce que j'ai voulu dire en expliquant qu'on ne pouvait prévoir ce qui arrivera demain. D'où les ajustements des modèles, qui certes ne reflètent pas exactement la réalité, mais qui, malgré tout donnent certaines indications aux acteurs du marché. Enfin, même si je ne vois pas trop le rapport entre les agences de notations, les entreprises et les spéculateurs, je ne peux que vous suivre concernant le fait que les entreprises doivent avant tout se concentrer sur leur activité principale, et laisser les banques et autres institutions faire leur travail tranquilement. Ca me fait penser à Sony, qui a vu son résultat de 2008 plombé par son activité d'assurance, alors que son activité de fabriquant d'appareils électroniques était bénéficiaire... Sony avait trouvé un filon prometteur, elle s'y est engagé, voilà le résultat: elle va surement licencier plusieurs milliers de personnes, en partie à cause de son éparpillement de son activité. Sur ce, bonne soirée à vous, et bon courage dans votre métier.

et ces cretins de chez Fitch, ils donnaient combien d'étoiles aux banques américaines il n'y apas silongtemps que ça . C'est marrant ,ils n'ont rien vu venir!

Euh.....évitez de vous prendre pour des économistes.....restez de simples internautes, car là, ça devient relou de vous lire ! Allez, on veut des scoooops !!!

 Cette annonce veut simplement dire que si Chrysler ou Fiat auront besoin d' argent et bien il leur faudra casquer un taux maximum. Celui ci est proportionel à la note de Fitch. Les vautours de la finance ne les lacherons pas. Dans cette affaire Fitch est juge et partie (agent de notation et usurier)

et voilà que tout le monde essaie de nous étaler sa science ! ca devient pathétique !

@11:05 & 8:51 : arrêtez de faire les relous, les blasés et les "nous on le savait déjà", les économistes dignes de l'ENA ou Sciences po...c'est plûtôt pas mal et mieux que d'habitude et ça change des débats non pas d'idées mais de bêtises , d'insultes, de grossièretés dont beaucoup de posteurs anonymes du site sont coutumiers et habitués...les balourds qui devraient être sur Skyrock ou sur les skyblogs sont souvent bien plus nombreuxet beaucoup trop,hélas, que les amateurs et les passionnés de voiture ....sur ce, bon dimanche !