Par Axel015
Commentaires - Ferrari : nouvelle édition Competizione pour la 812
Audric Doche , mis à jour
Ferrari : nouvelle édition Competizione pour la 812
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Par E911V
830 ch atmosphériques c'est quand même quelque chose.
Par Gros-Chibre
Un peu plus de douceur dans la ligne.
Un peu plus de f12, un peu moins de 812.
Par Otonei
La 812 et la SVJ, l'apothéose du V12, l'apogée de l'automobile, et qui dit apogée, dit redescente par la suite... A cause du greenwashing tout ça tout ça...
Par Otonei
Vraiment étrange l'intégration des échappements sinon..
Par §Dam063lW
un des derniers monstres sacrés ??
Par ca92
En réponse à Axel015
La 812 superfast à beau avoir un nom stupide c'est l'une des Ferrari les plus belles/réussies selon moi.
Et quelle voiture ! 800 cv sur les roues arrières, moteur atmosphérique, 12 cylindres en V.
Le moteur à l'avant la rend forcément un peu moins incisive qu'une 488 mais elle ne démérite quand même pas au niveau des performances avec un poids 'raisonnable' autours de 1600 kg (raisonnable pour un V12 et une voiture de cette taille : peu ou prou celle d'une berline comme une classe C).
Et finalement pas si chère : 300 000 euros environ. (pour une voiture qui à mi chemin entre une hypercar et une GT avec un V12 bien sur).
Après les 30 cv en plus, je sais pas si ça se sentira bcp.
T'es un peu optimiste concernant le poids, on est plus proches des 1800kg que des 1600 kg (l'aventador S dépasse également les 1800 kg tout pleins faits).
Ferrari sont des spécialistes d'annonces fantaisistes en terme de poids.
Sinon bien d'accord avec toi, toute proportion gardée et au vu de ce que propose la concurrence le prix de cette 812 superfast n'est si déconnant.
En ce qui concerne le design de cette 812 speziale edition, je trouve que l'arrière manque de personnalité et d'identité ( ca ressemble à une corvette,).
Par VARVILO
Vous ne trouvez pas que ça a un côté pied-de-nez à la commission européenne?
Par fassi51
quelle superbe machine ! Et effectivement sans doute pas si chère , si comme on peut le craindre elle sera l'une des dernières représentantes de l'automobile passion . Dans 25 ou 30 ans elle vaudra sans doute beaucoup plus que son prix d'achat .
Par Altrico
Plutôt sympa la robe parcontre les sièges sont immondes !
Un sans faute esthétiquement, quelle splendeur cette 812
En réponse à Gros-Chibre
Un peu plus de douceur dans la ligne.
Un peu plus de f12, un peu moins de 812.
Quel joli pseudo plein de poésie
Par damon13
L'arrière rappele la 330p4 de cotes.
J'aime l'optimisation aéro sur le capot et l'ouvrant arrière. C'est plus jolie que la turbine de gordon murray. Le but est sans doute le meme.
Par integralhf
La maîtrise des maîtres italiens
C'est tout de même loin devant tous les autres
Par Cars2
Un 6.3l à 9500trm !!!!! La jouissance pure pour celui qui vibre avec elle à l'intérieur !!!
Elle est là la vie !
Et juste après le monument audi avec leur V10 5.2l de folie !!
3e place au 4.0l de la Gt3 rs !!!
Les 3 plus beau atmo de la terre !!!
Sorry pour la lambo aventador qui mérite la 4e place ou la 3e aexco !
Par Critias
En réponse à Axel015
La 812 superfast à beau avoir un nom stupide c'est l'une des Ferrari les plus belles/réussies selon moi.
Et quelle voiture ! 800 cv sur les roues arrières, moteur atmosphérique, 12 cylindres en V.
Le moteur à l'avant la rend forcément un peu moins incisive qu'une 488 mais elle ne démérite quand même pas au niveau des performances avec un poids 'raisonnable' autours de 1600 kg (raisonnable pour un V12 et une voiture de cette taille : peu ou prou celle d'une berline comme une classe C).
Et finalement pas si chère : 300 000 euros environ. (pour une voiture qui à mi chemin entre une hypercar et une GT avec un V12 bien sur).
Après les 30 cv en plus, je sais pas si ça se sentira bcp.
"La 812 superfast à beau avoir un nom stupide"
Le nom est un référence à la Ferrari 500 Superfast.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferrari_500_Superfast
Par §Ros157ZL
En réponse à Critias
"La 812 superfast à beau avoir un nom stupide"
Le nom est un référence à la Ferrari 500 Superfast.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferrari_500_Superfast
L’appellation Super fast a été utilisée la première fois pour désigner un modèle unique (châssis 0483 SA) présenté au salon de Paris en 1956. D’inspiration américaine, avec ses ailerons arrière proéminents, il était clairement destiné à séduire la clientèle fortunée d’outre-Atlantique, d’où son appellation très explicite qui, avec notre œil européen contemporain, peut nous apparaître naïve pour ne pas dire ‘’ridicule’’, blasés que nous sommes par l’accumulation de noms plus ou moins heureux tout droit sortis des élucubrations et autres brainstormings de services marketing toujours prêts à justifier par là leur existence.
En fait, cela avait le mérite d’être clair et je crois que cela correspondait parfaitement à la clientèle visée.
Au delà de ces considérations, le modèle en question installait un peu plus Ferrari aux pinacles de la puissance et du luxe automobile. V12 4,9l de 340 ch. Rien de comparable à l’époque.
L’année suivante, un autre exemplaire unique (châssis 0719 SA) a été présenté au salon de Turin. Désigné 4.9 Superfast et debarassé de ses ailes arrières à l’américaine, c’est à mes yeux l’une des plus belles Ferrari.
Trois ans plus tard, c’est encore pour un modèle unique que Ferrari a usé du Superfast, L’accolant cette fois au chiffre romain II - normal pour des italiens ! Basé sur le châssis 2207 SA, en blanc immaculé intérieur bleu, il inaugurait un tout autre style avac sa ligne fastback très profilée, appelé tout simplement ‘Aerodinamico’.
Il y a eu ensuite courant 1962 une Superfast Iii et une IV. La première reprenait le style de la II avec des montants arrières quasi inexistants et la seconde, en fait basé sur le même châssis adoptait des doubles phares droit en lieu et place de phares escamotables, ce qui était bien moins heureux pour la ligne générale.
Enfin 2 ans plus tard, à l’occasion du salon de Genève 1965, Ferrari a dévoilé la 500 Superfast (5951 SF) évoquée ci-avant, cette fois-ci non plus un modèle unique mais restant tout de même très exclusif (36 exemplaires fabriqués sur deux ans).
Équipée d’un V12 5l de 400ch, elle faisait la synthèse heureuse des différentes tendances stylistiques du moment entre le capot plongeant et phares droit, annonciateur des 330 puis 365 GTC, la ligne fastback et l’arrière tronquée. Elle était aussi désignée comme la Ferrari royale à l’instar d’une certaine Bugatti, de par sa production très limitée et sa clientèle composée à la fois de têtes couronnées et de stars de cinéma.
En choisissant donc d’exhumer ce patronyme pour ce qui sera très vraisemblablement la dernière d’une légendaire et prestigieuse lignée, à savoir les GT à moteur V12 avant purement atmosphérique, Ferrari à de nouveau subtilement entretenu le mythe. Et l’ultime ‘’versione spéciale’ dont le nom et les caractéristiques finals seront dévoilés le 5 mai prochain s’annonce d’ors et déjà comme un sublissime bouquet final.
De fait, nul doute que les futurs acquéreurs sont certains de détenir une valeur refuge en or avec une cote qui dès les premiers exemplaires livrés devrait tripler voire quadrupler (parions plutôt pour un prix de base aux alentours du demi million d’euros, enfin pour ceux que Ferrari aura sélectionnés !).
Pour nous, commun des mortels tifosi, nous devrons nous contenter du modèle réduit. Mais une belle BBR au 1/18 devrait déjà permettre de rêver - les connaisseurs se reconnaîtront.
Par §Ros157ZL
En réponse à §Ros157ZL
L’appellation Super fast a été utilisée la première fois pour désigner un modèle unique (châssis 0483 SA) présenté au salon de Paris en 1956. D’inspiration américaine, avec ses ailerons arrière proéminents, il était clairement destiné à séduire la clientèle fortunée d’outre-Atlantique, d’où son appellation très explicite qui, avec notre œil européen contemporain, peut nous apparaître naïve pour ne pas dire ‘’ridicule’’, blasés que nous sommes par l’accumulation de noms plus ou moins heureux tout droit sortis des élucubrations et autres brainstormings de services marketing toujours prêts à justifier par là leur existence.
En fait, cela avait le mérite d’être clair et je crois que cela correspondait parfaitement à la clientèle visée.
Au delà de ces considérations, le modèle en question installait un peu plus Ferrari aux pinacles de la puissance et du luxe automobile. V12 4,9l de 340 ch. Rien de comparable à l’époque.
L’année suivante, un autre exemplaire unique (châssis 0719 SA) a été présenté au salon de Turin. Désigné 4.9 Superfast et debarassé de ses ailes arrières à l’américaine, c’est à mes yeux l’une des plus belles Ferrari.
Trois ans plus tard, c’est encore pour un modèle unique que Ferrari a usé du Superfast, L’accolant cette fois au chiffre romain II - normal pour des italiens ! Basé sur le châssis 2207 SA, en blanc immaculé intérieur bleu, il inaugurait un tout autre style avac sa ligne fastback très profilée, appelé tout simplement ‘Aerodinamico’.
Il y a eu ensuite courant 1962 une Superfast Iii et une IV. La première reprenait le style de la II avec des montants arrières quasi inexistants et la seconde, en fait basé sur le même châssis adoptait des doubles phares droit en lieu et place de phares escamotables, ce qui était bien moins heureux pour la ligne générale.
Enfin 2 ans plus tard, à l’occasion du salon de Genève 1965, Ferrari a dévoilé la 500 Superfast (5951 SF) évoquée ci-avant, cette fois-ci non plus un modèle unique mais restant tout de même très exclusif (36 exemplaires fabriqués sur deux ans).
Équipée d’un V12 5l de 400ch, elle faisait la synthèse heureuse des différentes tendances stylistiques du moment entre le capot plongeant et phares droit, annonciateur des 330 puis 365 GTC, la ligne fastback et l’arrière tronquée. Elle était aussi désignée comme la Ferrari royale à l’instar d’une certaine Bugatti, de par sa production très limitée et sa clientèle composée à la fois de têtes couronnées et de stars de cinéma.
En choisissant donc d’exhumer ce patronyme pour ce qui sera très vraisemblablement la dernière d’une légendaire et prestigieuse lignée, à savoir les GT à moteur V12 avant purement atmosphérique, Ferrari à de nouveau subtilement entretenu le mythe. Et l’ultime ‘’versione spéciale’ dont le nom et les caractéristiques finals seront dévoilés le 5 mai prochain s’annonce d’ors et déjà comme un sublissime bouquet final.
De fait, nul doute que les futurs acquéreurs sont certains de détenir une valeur refuge en or avec une cote qui dès les premiers exemplaires livrés devrait tripler voire quadrupler (parions plutôt pour un prix de base aux alentours du demi million d’euros, enfin pour ceux que Ferrari aura sélectionnés !).
Pour nous, commun des mortels tifosi, nous devrons nous contenter du modèle réduit. Mais une belle BBR au 1/18 devrait déjà permettre de rêver - les connaisseurs se reconnaîtront.
Rectification: il faut lire salon de Genève 1964 et non 1965 pour la présentation de la 500 Superfast.
Par §Lep405EG
En réponse à §Ros157ZL
Rectification: il faut lire salon de Genève 1964 et non 1965 pour la présentation de la 500 Superfast.
Ah oui , j'me disais aussi
Par Otonei
Article mis à jour (par contre la résolution des images semblent vraiment pas terrible)
Et en plus ils osent la version Aperta, mais quelle merveille mon Dieu Déjà collector, le V12 Spider était revenu il y a peu avec la 812 GTS, les heureux propriétaires n'ont que l'embarras du choix.
C'est pas en VE qu'on aura une telle œuvre mécanique !
Par axoxyxous
Une corvette C8 Z06 avec son moteur hurlant a 11000 tr/min lui fera la misère a 140 000 dollars
Par Altrico
A part les sièges tout est magnifique !
Par xblehavre
En réponse à Axel015
La 812 superfast à beau avoir un nom stupide c'est l'une des Ferrari les plus belles/réussies selon moi.
Et quelle voiture ! 800 cv sur les roues arrières, moteur atmosphérique, 12 cylindres en V.
Le moteur à l'avant la rend forcément un peu moins incisive qu'une 488 mais elle ne démérite quand même pas au niveau des performances avec un poids 'raisonnable' autours de 1600 kg (raisonnable pour un V12 et une voiture de cette taille : peu ou prou celle d'une berline comme une classe C).
Et finalement pas si chère : 300 000 euros environ. (pour une voiture qui à mi chemin entre une hypercar et une GT avec un V12 bien sur).
Après les 30 cv en plus, je sais pas si ça se sentira bcp.
Oui mais là le prix est de 500 k et 580k pour l’aperta.
Sans compter les options qui peuvent atteindre des prix à peine croyable.
Par Lionel_2020
Perso ces dinosaures ne m'impressionnent plus, il est tant pour Ferrari de trouver sa place dans les musées avec les calèches et les locomotives à vapeur. Rien q'une bonne grosse familiale model X plaid dépose cette pauvre 812 au feu rouge. Sans parler d'une model S plaid+ ....
Par Ced b8
En réponse à Lionel_2020
Perso ces dinosaures ne m'impressionnent plus, il est tant pour Ferrari de trouver sa place dans les musées avec les calèches et les locomotives à vapeur. Rien q'une bonne grosse familiale model X plaid dépose cette pauvre 812 au feu rouge. Sans parler d'une model S plaid+ ....
Et il est temps de prouver au VE qu ils remplaceront demain les thermiques sur circuit.
Par §Ros157ZL
En réponse à Ced b8
Et il est temps de prouver au VE qu ils remplaceront demain les thermiques sur circuit.
Une Apple Watch est peut être plus techno qu’une Jaeger-lecoutre mais deviendra rapidement un objet périmé alors que la deuxième restera un bel objet de collection.
C’est la différence entre marketing mainstream autoproclamé premium et artisanat authentiquement d’exception.
Bref, je doute qu’une Tesla ne devienne un jour un collector alors que je n’en ai aucun pour ces 812 Competizione.
La 812 superfast à beau avoir un nom stupide c'est l'une des Ferrari les plus belles/réussies selon moi.
Et quelle voiture ! 800 cv sur les roues arrières, moteur atmosphérique, 12 cylindres en V.
Le moteur à l'avant la rend forcément un peu moins incisive qu'une 488 mais elle ne démérite quand même pas au niveau des performances avec un poids 'raisonnable' autours de 1600 kg (raisonnable pour un V12 et une voiture de cette taille : peu ou prou celle d'une berline comme une classe C).
Et finalement pas si chère : 300 000 euros environ. (pour une voiture qui à mi chemin entre une hypercar et une GT avec un V12 bien sur).
Après les 30 cv en plus, je sais pas si ça se sentira bcp.