Par matrix71
Papy Brossard est revenu
Quand l’ex-PDG de Mercedes est devenu une star de la pub
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Par matrix71
Papy Brossard est revenu
Par F18Hornet
La fusion-acquisition de Chrysler par Mercedes, au final encore une belle erreur stratégique de la part des dirigeants de l’époque (les responsables : Jürgen Schrempp et Jürgen Hubbert). Cette fusion a coûté 36 milliards de dollars ! Et cela uniquement pour flatter l’égo démesuré de certains dirigeants…
Que de cash immense brulé pour au final rien de substantiel. Zetsche a dû arrêter les frais de cette gabegie gargantuesque.
Chrysler a finalement été vendu en 2007 au fond d’investissement Cerberus pour 7,4 milliards de dollars. Mais Daimler a dû prendre en charge les charges financières et les frais de pensions des employés , ce qui a fait de l'accord une nouvelle perte financière. Puis FCA (Fiat) a repris les reines de la marque pour en presser le dernier jus. Depuis la marque qui végète dans un coma artificiel profond depuis quelques années.
Et parallèlement Mercedes a dû faire des économies d’investissement et à rogné sur la qualité de leurs propres produits, bref ou comment l‘égo incommensurable de certains dirigeants peut mettre à mal tout un groupe industriel (idem en politique)…
Par Lulu Botine
Me fait penser au professeur dans H
Par Gastor
En réponse à F18Hornet
La fusion-acquisition de Chrysler par Mercedes, au final encore une belle erreur stratégique de la part des dirigeants de l’époque (les responsables : Jürgen Schrempp et Jürgen Hubbert). Cette fusion a coûté 36 milliards de dollars ! Et cela uniquement pour flatter l’égo démesuré de certains dirigeants…
Que de cash immense brulé pour au final rien de substantiel. Zetsche a dû arrêter les frais de cette gabegie gargantuesque.
Chrysler a finalement été vendu en 2007 au fond d’investissement Cerberus pour 7,4 milliards de dollars. Mais Daimler a dû prendre en charge les charges financières et les frais de pensions des employés , ce qui a fait de l'accord une nouvelle perte financière. Puis FCA (Fiat) a repris les reines de la marque pour en presser le dernier jus. Depuis la marque qui végète dans un coma artificiel profond depuis quelques années.
Et parallèlement Mercedes a dû faire des économies d’investissement et à rogné sur la qualité de leurs propres produits, bref ou comment l‘égo incommensurable de certains dirigeants peut mettre à mal tout un groupe industriel (idem en politique)…
La fusion Daimler-Chrysler n’était pas qu’un caprice d’ego mais une tentative de diversification dans un monde globalisé, où les marchés avaient doublé depuis la chute du communisme. Chrysler offrait un accès au marché nord-américain et avait des gammes complémentaires pour les marchés "enfin" émergents.
L’ambition était industrielle, pas narcissique. L’échec tient à l’exécution, pas à la vision.
Par goldskin
En réponse à F18Hornet
La fusion-acquisition de Chrysler par Mercedes, au final encore une belle erreur stratégique de la part des dirigeants de l’époque (les responsables : Jürgen Schrempp et Jürgen Hubbert). Cette fusion a coûté 36 milliards de dollars ! Et cela uniquement pour flatter l’égo démesuré de certains dirigeants…
Que de cash immense brulé pour au final rien de substantiel. Zetsche a dû arrêter les frais de cette gabegie gargantuesque.
Chrysler a finalement été vendu en 2007 au fond d’investissement Cerberus pour 7,4 milliards de dollars. Mais Daimler a dû prendre en charge les charges financières et les frais de pensions des employés , ce qui a fait de l'accord une nouvelle perte financière. Puis FCA (Fiat) a repris les reines de la marque pour en presser le dernier jus. Depuis la marque qui végète dans un coma artificiel profond depuis quelques années.
Et parallèlement Mercedes a dû faire des économies d’investissement et à rogné sur la qualité de leurs propres produits, bref ou comment l‘égo incommensurable de certains dirigeants peut mettre à mal tout un groupe industriel (idem en politique)…
Les années Daimler- Chrysler ont été des années noires pour Mercédes. Les têtes pensantes ( et arrogantes ) de l’époque ont voulu frapper un grand coup en s’appropriant une marque Américaine et ils ont bien dû constater qu’ils ont acheté un canard boiteux avec une gamme vieillotte qui ne se vendait plus. Si on ajoute une fiabilité douteuse et des usines obsoletes, la coupe était pleine.
Mercédes a dû procéder à des investissements considérables et surtout dû envoyer une armée de leurs meilleurs concepteurs pour redresser la situation.
Au détriment comme vous le souligner de leur propre gamme qui a connu à l’époque de gros problèmes de fiabilité. Avec pour bien souligner la catastrophe, des dizaines de taxis claxonnant en rafales devant le siège de Stuttgart pour bien manifester leur colère.
Pour revenir sur le sujet, l’excellent Dieter Zetsche un peu brouillé avec MB et ayant quitté le conseil d’administration, s’affiche actuellement en BMW…
Par roc et gravillon
Où l'on apprend aussi qu'Afflelou utilisait sans doute un ventilateur pour épousseter ses lunettes en boutique.
Un boss impliqué et soigneux comme ça ne méritait que de réussir.
Par F18Hornet
En réponse à Gastor
La fusion Daimler-Chrysler n’était pas qu’un caprice d’ego mais une tentative de diversification dans un monde globalisé, où les marchés avaient doublé depuis la chute du communisme. Chrysler offrait un accès au marché nord-américain et avait des gammes complémentaires pour les marchés "enfin" émergents.
L’ambition était industrielle, pas narcissique. L’échec tient à l’exécution, pas à la vision.
Mercedes n’avait nullement besoin d’accéder au marché US par le biais de cette fusion !
Mercedes est présent sur le marché américain depuis 1952 par le biais de l’importateur Max Hoffman, puis le constructeur a lancé sa propre filiale américaine en 1964 appelée Mercedes-Benz of Northamerica.
Je persiste cet achat-fusion avec Chrysler reste au final une connerie monumentale qui n’a fait que brûler du cash au détriment des investissements propres et de ce fait le constructeur a dû rogner sur la qualité de ses propres produits.
Quant à la diversification éventuelle avec Chrysler, cette dernière est morte depuis belle lurette. C’est à Stellantis maintenant d’arrêter les frais concernant la mort cérébrale de cette marque fantôme.
Bref les américains toujours aussi fort pour appâter le chaland (naïf) européen, pour ensuite venir l’essorer et le laisser se débrouiller tout seul avec les coûts engendrés. Mercedes, Volkswagen (dieselgate us), Opel, Saab, Ford Europe et bientôt au tour de Stellantis.
Par V90T8
J'ai l'impression d'avoir déjà vu passer cet article sur cara plusieurs fois...
Mais bon c’était peut-être ailleurs et je confond.
Par roc et gravillon
... mais tu disais que Fiat a repris les reines de la marque pour en tirer les derniers jus...
Ah le cul... c'est bien lui qui dirige le monde.
Par roc et gravillon
En réponse à V90T8
J'ai l'impression d'avoir déjà vu passer cet article sur cara plusieurs fois...
Mais bon c’était peut-être ailleurs et je confond.
Viens pas t'intercaler quand je cause au frelon toi !
Par GY201
En réponse à F18Hornet
Mercedes n’avait nullement besoin d’accéder au marché US par le biais de cette fusion !
Mercedes est présent sur le marché américain depuis 1952 par le biais de l’importateur Max Hoffman, puis le constructeur a lancé sa propre filiale américaine en 1964 appelée Mercedes-Benz of Northamerica.
Je persiste cet achat-fusion avec Chrysler reste au final une connerie monumentale qui n’a fait que brûler du cash au détriment des investissements propres et de ce fait le constructeur a dû rogner sur la qualité de ses propres produits.
Quant à la diversification éventuelle avec Chrysler, cette dernière est morte depuis belle lurette. C’est à Stellantis maintenant d’arrêter les frais concernant la mort cérébrale de cette marque fantôme.
Bref les américains toujours aussi fort pour appâter le chaland (naïf) européen, pour ensuite venir l’essorer et le laisser se débrouiller tout seul avec les coûts engendrés. Mercedes, Volkswagen (dieselgate us), Opel, Saab, Ford Europe et bientôt au tour de Stellantis.
Pour le futur, on verra mais effectivement c'est mal parti pour Stelantis. Il faut pas oublier des la étatsuniens comme les anglais aiment bien vendre les entreprises avant que l'on découvre que ce sont des nids à emmerdes.
Il y a eu Mosanto et Bayer (réussi); British aerospace et Airbus (raté) Rover et BMW (mitigé) et bien d'autres.
Pour ce qui est de Chrysler, il faut bien convenir que les allemands ont été d'une maladresse habituelle chez eux dans les relations internationales. En laissant travailler les BE historiques de Détroit sur les technologies Mercedes, il y avait la capacité de renouveler toute la gamme des marques de Chrysler. A la place, ils ont tué les nouveaux modèles issus de la direction de François Castaing sans remplacement, il n'y a eu que la 300C façon tank (voiture préférée de Obama).
Par Gastor
Message de petite frappe qui s'est crue en possession de l'espace de discussion. Pathétique.
Par Gastor
En réponse à F18Hornet
Mercedes n’avait nullement besoin d’accéder au marché US par le biais de cette fusion !
Mercedes est présent sur le marché américain depuis 1952 par le biais de l’importateur Max Hoffman, puis le constructeur a lancé sa propre filiale américaine en 1964 appelée Mercedes-Benz of Northamerica.
Je persiste cet achat-fusion avec Chrysler reste au final une connerie monumentale qui n’a fait que brûler du cash au détriment des investissements propres et de ce fait le constructeur a dû rogner sur la qualité de ses propres produits.
Quant à la diversification éventuelle avec Chrysler, cette dernière est morte depuis belle lurette. C’est à Stellantis maintenant d’arrêter les frais concernant la mort cérébrale de cette marque fantôme.
Bref les américains toujours aussi fort pour appâter le chaland (naïf) européen, pour ensuite venir l’essorer et le laisser se débrouiller tout seul avec les coûts engendrés. Mercedes, Volkswagen (dieselgate us), Opel, Saab, Ford Europe et bientôt au tour de Stellantis.
La critique est facile, évidente même, à posteriori, mais il y avait une idée légitime derrière cette fusion, voilà tout mon point de vue.
Mercedes n'a toujours pas fini d'être tiraillé entre volumes et exclusivité, comme les retournements de situation à propos de Classe A nous le montrent encore aujourd'hui.
Par roc et gravillon
En réponse à Gastor
Message de petite frappe qui s'est crue en possession de l'espace de discussion. Pathétique.
Va plutôt ranger à la cave le panneau solaire chinois à 50 balles de ton balcon.
Au lieu de venir te ridiculiser une fois de plus ici Le Dreamer.
Par Gastor
En réponse à roc et gravillon
Va plutôt ranger à la cave le panneau solaire chinois à 50 balles de ton balcon.
Au lieu de venir te ridiculiser une fois de plus ici Le Dreamer.
Ignorant au point de croire qu’une installation solaire se démonte selon les saisons.
Par F18Hornet
En réponse à Gastor
La critique est facile, évidente même, à posteriori, mais il y avait une idée légitime derrière cette fusion, voilà tout mon point de vue.
Mercedes n'a toujours pas fini d'être tiraillé entre volumes et exclusivité, comme les retournements de situation à propos de Classe A nous le montrent encore aujourd'hui.
La critique est facile…
Qui vous dit ce que j’ai pensé de cette fusion à l’époque ?
Ce que l’on peut retenir c’est que cette fusion reste une erreur monumentale entre des dirigeants qui n’ont pas voulu se comprendre et qui par égocentrisme n’ont suivi que leurs propres intérêts.
Daimler et Chrysler ont célébré leur fusion comme un "mariage au paradis". Mais seulement deux ans plus tard, les choses ont mal tourné et sont devenues le symbole de la folie des grandeurs. C'était surtout une personne qui en était responsable. Un homme trop effronté. Il avait sa propre opinion : malheureusement la mauvaise.
Son nom : Thomas Stallkamp, l'un des principaux dirigeants du constructeur automobile américain Chrysler, qui venait de fusionner avec Daimler, avait quelques conseils pour ses nouveaux collègues allemands : les nouveaux partenaires devraient s'adapter à de nouveaux temps, a déclaré l'Américain. Ils pourraient encore apprendre beaucoup de Chrysler : "Vous devez être plus flexible", "Développer plus rapidement, répondre plus rapidement aux souhaits des clients, mettre des produits plus rapidement sur le marché. Daimler est une entreprise beaucoup plus petite que Chrysler et n'est pas aussi rentable : "Nous devons combler cette différence". Quel blabla au final.
De tels mots n'ont pas été bien reçus par Jürgen Schrempp. Il avait créé un nouveau groupe à partir des deux constructeurs automobiles Daimler et Chrysler. Il voulait diriger une société mondiale, mais en aucun cas l'Allemand, avec la confiance en soi débordante, n'était prêt à se laisser dire par un Américain comment diriger le nouveau groupe. Schrempp aurait fait en sorte que Stallkamp quitte bientôt le groupe.
Le reste de l’histoire est connu !
Résultats, une marque est toujours bien présente sur tous les marchés, même si l’image en a été écornée et malgré les pertes notoires à cette époque en vendant le bébé et l’eau de son bain au fond d’investissement Cerberus. L‘autre marque est à l’agonie et n’existe plus que sur le papier. Stellantis n’est pas prêt à sauver le soldat Chrysler !
Par Gastor
En réponse à roc et gravillon
Va plutôt ranger à la cave le panneau solaire chinois à 50 balles de ton balcon.
Au lieu de venir te ridiculiser une fois de plus ici Le Dreamer.
Une installation photovoltaïque ne se démonte pas hors saison, vous êtes allé encore votre expertise
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