Le Citroën C-Crosser ne se positionne pas comme un simple SUV mais plutôt comme un SUV haut de gamme.

Il existe en seulement deux finitions portant les noms de Pack et d’Exclusive, des niveaux positionnés généralement haut dans les gammes des berlines. La dotation va de pair et se veut complète dès le premier niveau.

Le C-Crosser reçoit 6 airbags, les jantes 16 pouces, l’ABS avec répartiteur de freinage, l’ESP, l’allumage automatique des phares, le régulateur de vitesse, la climatisation automatique, la banquette de 3e rang escamotable, 4 vitres électriques, les rétroviseurs extérieurs chauffants, l’autoradio CD MP3 6 HP et la transmission intégrale.

Essai - Citroën C-Crosser : l’un des derniers mais pas le moindre

Contre la modique somme de 3 300 € supplémentaires, vous accéderez à la finition Exclusive. Parmi les équipements additionnels, on retiendra les jantes alu 18 pouces, l’aide au stationnement arrière, les projecteurs xénon, le siège conducteur électrique, les sièges avant chauffants, le changeur 6 CD, la sellerie cuir et le vitrage AR surteinté.

Malgré des tarifs nettement plus élevés que le Mitsubishi Outlander, l’équipement du C-Crosser souffre de quelques lacunes. Il est ainsi dommage qu’il faille passer par les options pour obtenir le GPS vendu tout de même 2 400 €. Que dire de l’absence d’aide au stationnement avant ? La deuxième génération du SUV japonais fait mieux dans ce domaine pour nettement moins cher. Un pari osé pour Citroën qui doit s’attendre à quelques reproches à ce sujet d’autant plus que la garantie du C-Crosser n’est que de 2 ans contre 3 pour l’Outlander.

A titre de comparaison, comptez entre 34 600 et 37.900 euros pour le Peugeot 4007 mais celui-ci ne dispose pas de feux à diodes. Le catalogue des options est aussi plus vaste chez Citroën avec la possibilité d’opter pour une peinture métallisée ou nacrée (500 €) ou le toit ouvrant électrique ( 700 €).