Evidemment, dans ces moments-là, dans un stand, les mouvements sont incertains, fonction de la qualité de l’information qui arrive. Et des mouvements, chez Signatech, à ce moment-là, il y en eut quelques-uns. D’abord partis pour changer la partie arrière du proto, notamment piloté par Soheil Ayari, ils renonçaient… avant de finalement être contraints de changer toute la partie arrière, celle qui englobe l’aileron.
Rapidement, Hugues de Chaunac, le patron d’Oreca, qui fournit le châssis à Signatech, était présent dans le stand avec deux autres membres de sa structure pour constater les dégâts et voir si une réparation de l’élément changé était possible. Ce qui, à vu d’œil, semble compliqué. On aura en tout cas compris que la relation entre Oreca et Signatech est étroite.
A la suite de cet incident, la n°26 repartait en dernière position de sa catégorie.
















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